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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 11:15

 

 

 

kongoTimes!

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image Séléka

 

Alors que la guerre venue du Rwanda est loin de se terminer, la RD Congo menacée par la crise centrafricaine. Selon le Conseil de sécurité, la LRA est l’un des facteurs de l’extension de cette crise qui menace l’Afrique centrale. Les exactions qui s’en sont suivies demeurent difficiles à être enrayées jusqu’à ce jour. Les meurtres, viols, enrôlement d’enfants soldats, déplacements massifs des populations civiles, pillages … ne cessent d’accabler les Congolaises et Congolais. Si aucune disposition n’est prise pour mieux gérer les mouvements des réfugiés, la menace de la crise centrafricaine risque encore de se focaliser au Nord du territoire congolais, déjà en proie aux opérations dévastatrices menées par la LRA toujours active depuis de nombreuses années. L’opinion retiendra qu’à la chute du régime Bozizé, même des membres de la famille de cet ancien chef de l’Etat se sont réfugiés sur le territoire congolais. Voilà qui fait croire que le pouvoir en place en RDC est plutôt favorable au régime déchu de Bozizé et que les Séléka semblent mal digérer cette attitude, au risque d’emboiter le pas à Paul Kagame, avec toutes les conséquences qu’on peut s’imaginer.

Le Conseil de sécurité de l’ONU a déclaré que la crise en Centrafrique constitue une grave menace pour la région d’Afrique centrale et s’est déclaré « prêt à envisager toutes les options possibles pour stabiliser » le pays.Selon l’AFP, cette déclaration adoptée unanimement par les 15 pays membres du Conseil de sécurité ne précise pas ces options.

Dans un récent rapport, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a recommandé des sanctions contre les responsables de la coalition Séléka coupables d’exactions.

Le représentant spécial de l’ONU en République centrafricaine (RCA)

Babacar Gaye, a indiqué que ces menaces de sanctions sont une forme de pression pour améliorer la situation des droits de l’homme en RCA.« Le conflit armé et la crise en RCA représentent une grave menace pour la stabilité de la RCA et de la région », ont estimé les 15 pays membres.

Ils se disent très inquiets de la détérioration de la sécurité  et de la situation humanitaire. Ils déplorent de nombreuses violations des droits de l’homme, en particulier par des éléments de la Séléka, à savoir les meurtres, viols, enrôlement d’enfants soldats.

Renforcer l’aide humanitaire

Le Conseil a lancé un appel urgent aux donateurs à mieux financer l’aide humanitaire.Il affirme que les responsables d’exactions doivent être tenus pour responsables aux niveaux national et international.Il salue la décision de l’Union africaine (UA) de créer une Mission internationale de soutien à la Centrafrique (Misca), forte de 3600 hommes, qui va contribuer de manière importante à stabiliser le pays.

Le général Gaye a cependant estimé que les 3600 hommes de la Misca ne seront pas suffisants si on veut tenir le terrain. « Il faudra voir dans quel délai cette force sera entièrement générée et quelles seront les réactions des autorités et de la Séléka à son déploiement », a-t-il expliqué. Une mission d’évaluation de l’UA doit se rendre à Bangui la semaine prochaine.

Inquiétude en RDC

Sur le plan politique, les membres du Conseil ont réclamé des progrès rapides pour appliquer les accords de transition et organiser des élections libres, transparentes et équitables.Ils se sont inquiétés de la «recrudescence des opérations de la Armée de résistance du Seigneur (LRA) à la faveur du chaos en RCA.

La LRA, une des guérillas les plus meurtrières du continent, est réputée active en RCA, République démocratique du Congo (RDC) et Soudan du Sud.Selon l’ONU, 1,6 million de Centrafricains ont besoin d’une aide d’urgence et 206.000 personnes ont été déplacées, dont 60.000 ont fui dans les pays voisins.

Les analystes osent croire que la RDC figure, sans aucun doute, parmi ces pays pris d’assaut par des masses impressionnantes des réfugiés de guerre.

Comme l’histoire se répète, c’est pratiquement le même scénario qu’a connu le Congo Démocratique lorsqu’en 1994, après le crash fatal de l’avion du président rwandais Juvénal Habiarimana, des milliers de personnes ont quitté ce pays pour se réfugier à l’Est du territoire congolais.

Les Séléka sur le pas de Kagame ?

Les exactions qui s’en sont suivies demeurent difficiles à être enrayées jusqu’à ce jour. Les meurtres, viols, enrôlement d’enfants soldats, déplacements massifs des populations civiles, pillages … ne cessent d’accabler les Congolaises et Congolais.

Si aucune disposition n’est prise pour mieux gérer les mouvements des réfugiés, la menace de la crise centrafricaine risque encore de se focaliser au Nord du territoire congolais, déjà en proie aux opérations dévastatrices menées par la LRA toujours active depuis de nombreuses années.

L’opinion retiendra qu’à la chute du régime Bozizé, même des membres de la famille de cet ancien chef de l’Etat se sont réfugiés sur le territoire congolais.

Voilà qui fait croire que le pouvoir en place en RDC est plutôt favorable au régime déchu de Bozizé et que les Séléka semblent mal digérer cette attitude, au risque d’emboiter le pas à Paul Kagame, avec toutes les conséquences qu’on peut s’imaginer.

[asiyeshindwa]

 

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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 21:20

 

 

 

 

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image Denis SASSOU N'GUESSO et Etienne TSHISEKEDI

 

Contrairement à ce qui se raconte dans certains medias, le Président de la République Etienne Tshisekedi ne compte pas traverser ce vendredi 09 aout 2013 pour Brazzaville. Le Protocole Présidentiel à Limete l’a fait savoir, le Président refuse à ce que son déplacement soit confondu ou lié avec les concertations de nos amis de Kingakati. Toute fois, la liberté d’association, de rassemblement étant garantie par la constitution, le Président ne  voit aucun inconvénient que Kengo et ses amis du PPRD organisent leur conclave.

 

Mais d’après certaines informations que nous avons reçues du coté de Brazzaville, le Protocole d’Etat Brazzavillois dans son agenda prévoit une rencontre du Chef de l’Etat Congolais Etienne Tshisekedi avec son homologue Denis Sassou Ngeussou, la date n’est pas encore précisée. Les deux Chefs d’Etat vont réfléchir, analyser la situation  sécuritaire et  échanges économiques dans la région des grands lacs. La recherche de la Paix et le développement dans la  région des grands en particulier, aussi celle de toute l’Afrique en général est le grand souci de Lider Maximo.  On se rappellera, le 21 février 2013, le Président Étienne Tshisekedi s’était rendu en Afrique du sud. Il s’était adressé aux Députés Sud africains à Tswalu, une cité politico-administrative de l’Afrique du Sud. Sa communication était centrée sur le thème principal que voici : «le rôle des armées africaines à  l’ère de la démocratie.

 

Après son speech à Pretoria, le Président Étienne Tshisekedi avait eu des contacts politiques de très haute facture, notamment, avec les anciens Chefs d’État des pays africains et Occidentaux qui avaient  pris une part active, dans cette rencontre. Compte tenu de la gravité et de la complexité du conflit armé qui se déroule actuellement en RDC, et de dangers réels qu'il présente pour la paix et le développement dans le pays et dans la région, le Président Tshisekei ne préconise pas une solution militaire, il faut  un règlement politique global, comprenant des aspects nationaux et régionaux, impliquant toutes les forces politiques représentatives du pays sans exclusion et bénéficiant d'une garantie internationale.

 

" La politique extérieure d'un Etat est le reflet de sa politique intérieure", la RDC devenue un Etat réellement démocratique et de droit tourné vers la paix et le développement peut non seulement stabiliser et améliorer sa situation intérieure mais également contribuer à la sécurité et à la stabilité politique de ses voisins. La priorité pour le Président Etienne consiste donc à démocratiser la RDC et à en faire un Etat de droit stable, fort et pacifique géré par des hommes et femmes responsables de ce fait, elle ne saurait constituer une quelconque menace ou une cause d'insécurité et d'instabilité politique pour les Etats voisins.

 

[Yves Kongolo]

 

 

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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 20:58

 

 

 

 

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image Etienne TSHISEKEDI et Joseph KABILA en train de voter, Novembre 2011

 

La présence de Joseph Kabila à Brazzaville serait à la base du retard ou de l'échec de la rencontre entre Sassou et Tshisekedi. Nous sommes entrain de vivre le scénario de 1997 entre Mobutu-Kabila MZee. Contre toute attente, J. Kabila est arrivé vers 4h00' du matin de ce samedi 17 aout à Brazzaville. On signale aussi la présence d'Aubin Minaku et Leon Kengo au pays de Massamba Deba. Pendant ce temps, la vedette, le petit bateau présidentiel de Sassou est toujours accosté de l'autre rive à Kinshasa. Le Président Tshisekedi hésiterait à traverser, la présence de Joseph Kabila n'était pas prévue dans le protocole d'accord d'après Limete. Tshisekedi est un Homme de Principe, il ne peut pas s'embarquer dans une histoire qu'il ne maitrise pas. L'opinion risque d'interpréter d'assimiler cette rencontre aux concertations de Kabila et ses amis. Au cas où Kabila insisterait à rencontrer Tshisekedi, le Président élu exigerait la démission de Mr Kabila avant tout contact direct avec lui. Kinshasa est dans le suspens, Limete, siège de l'Udps, était envahie par un grand nombre de combattants dans l'attente de la sortie du Lider Maximo.

 

Alors que la vedette du président congolais l’attendait au beach Ngobila, le président du parti d’opposition Union pour la démocratie et le progrès (UDPS), Etienne Tshisekedi, ne s’est pas rendu samedi 17 août à Brazzaville pour rencontrer le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou Nguesso, suite à «un empêchement sérieux», a expliqué son directeur de cabinet, Albert Moleka, sans donner plus d’explications.

 

Par contre, Albert Moleka s’est lui-même rendu à Brazzaville, afin de présenter les excuses du «leader maximo» de l’UDPS au chef de l’Etat congolais.

Le chef du cabinet d’Etienne Tshisekedi n’a pas précisé les raisons qui ont empêché ce dernier de répondre à l’invitation du président Sassou.

 

A la presse, il s’est contenté de dire qu’il était venu transmettre «le message du président Etienne Tshisekedi à son frère le président Denis Sassou Nguesso pour lui faire part des détails de l’empêchement un peu sérieux».

Albert Moleka a déclaré que les deux hommes se verraient «très bientôt», dès que l’agenda du président Sassou Nguesso le permettra.

 

«Concernant les concertations politiques en RDC, Sassou Nguesso est «mwana’a mboka» [fils du pays] pour Etienne Tshisekedi et cela veut tout dire», a-t-il confié aux journalistes.

Mais selon d’autres sources crédibles, la présence du pr&sident rd-congolais Joseph Kabila à Brazzaville le même samedi 17 août serait à la base du retard ou de l'échec de la rencontre entre Sassou et Tshisekedi.

 

En effet, contre toute attente, J. Kabila est arrivé vers 4h00' du matin du samedi 17 aout à Brazzaville où on aurait  signalé aussi la présence d'Aubin Minaku et Leon Kengo, tous deux co-présidents du présidium des Concertations nationales initiées par le président Joseph Kabila. 

 

C’est ainsi que pendant que la vedette, le petit bateau présidentiel de Sassou était toujours accosté samedi au beach Ngobila à Kinshasa, le président Tshisekedi aurait hésité à traverser, la présence de Joseph Kabila n'ayant pas été prévue dans le protocole d'accord. L’homme de Limete n’aurait pas voulu que l'opinion interprète la rencontre du samedi à Brazzaville au moment où le président Kabila s’y trouverait aussi comme un accord de l’UDPS à participer aux concertations nationales initiées par le président Kabila.

 

Au cas où Kabila insisterait à rencontrer Tshisekedi, ce dernier, se réclamant élu, exigerait sa démission avant tout contact direct, selon Limete. Entre-temps à, Kinshasa, c’éait le suspens. La 10ème de  Limete, siège de l'Udps, était envahie par un grand nombre de combattants du plus grand parti d’opposition UDPS dans l'attente de la sortie du Lider Maximo.

Au cours de cette rencontre attendue entre Denis Sassou Nguesso et Etienne Tshisekedi, le président du Congo-Brazzaville comptait obtenir de l’opposant historique  congolais de participer aux concertations nationales décidées par le chef de l’Etat de la RDC, le président Joseph Kabila.

 

Les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale de la RDC, Léon Kengo wa Dondo et Aubin Minaku, co-présidents du présidium des «concertations nationales», avaient désigné le président du Congo-Brazzaville «accompagnateur» de ce dialogue en gestation  en RDC.

 

Le parti d’Etienne Tshisekedi avait d’ores et déjà refusé de prendre part à ces concertations, affirmant qu’il ne reconnaissait pas au président Kabila la légitimité d’organiser de telles assises.

A l’issue des élections présidentielles de novembre 2011, Etienne Tshisekedi avait contesté les résultats donnant Joseph Kabila vainqueur. L’opposant historique avait alors affirmé qu’il se considérait comme le «président élu» de la RDC.

 

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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:49

 

 

 

kongoTimes!

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image ADF-NALU - Rebelles ougandais

 

Débutée samedi 10 août dans plusieurs agglomérations du territoire de Beni  dans la province du Nord-Kivu, l’opération « ville morte » décrétée par la société civile de cette province s’est poursuivie dimanche 11 août avec la paralysie de toutes les activités  socio-économiques dans ces localités, notamment à Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni, a-t-on constaté.

La population de cette partie du Nord-Kivu a ainsi répondu à l’appel de la coordination provinciale de la société civile du Nord-Kivu qui appelle les Forces armées de la RDC (FARDC) et la Monusco à lancer des opérations offensives contre les groupes armés actifs dans la province, particulièrement contre les rebelles du M23.

Ces rebelles sèment l’insécurité et la désolation dans la chefferie de Watalinga et dans le secteur Beni-Mbau, vidé depuis deux ans de ses habitants.

Selon la société civile de Beni, les ADF-Nalu ont kidnappé au moins 600 civils dont 3 prêtres, 4 agents de Médecin sans frontière (MSF) et un médecin d’Oïcha, en l’espace de deux ans.

«La population essaie de répondre au mot d’ordre de la coordination provinciale de la société civile du Nord-Kivu. Il est temps que le gouvernement se mette en œuvre avec des actions de grande envergures et cela devrait être accompagnées par la brigade tant attendue de la Monusco qui a beaucoup trainé le pied », a indiqué le président de la société civile de Beni, Eddy Kataliko cité par Radio Okapi.

L’administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda, a confirmé l’effectivité du suivi de ce mot d’ordre dans plusieurs localités, notamment à Oïcha, chef-lieu du territoire où seuls des cultes d’actions de grâces ont été  organisés ce dimanche.

Le vendredi 9 aout, le président de la société civile du Nord-Kivu, Thomas d’Aquin Mwiti, avait appelé la population de la province à observer, mardi 13 août, une «journée-ville morte», en mémoire des victimes de la guerre du M23. Il avait lancé cet appel au terme de l’ultimatum de sept jours que son organisation avait lancé à la brigade d’intervention de la Monusco.

La société civile du Nord-Kivu avait demandé à cette brigade de lancer les opérations offensives contre les groupes armés dont le M23.

Samedi à Goma, la population a demandé à la société civile de mener des actions de plus grande envergure en vue d’inciter les preneurs de décision à ffaire un pas vers le rétablissement de la sécurité au Nord-Kivu et dans l’ensemble de la région-est du pays.

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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 10:44

 

 

 

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apa

Le nouveau plan diabolique de Paul Kagame est Démasqué. Plusieurs sources crédibles et proche du pouvoir au Rwanda, le Front Patriotique Rwandais (FPR) et son chef Kagame préparent des massacres à grande échelle dans la ville de Kiwanja, au Nord-Kivu, afin d’imputer  ces massacres aux Forces armées congolaise (FARDC), enfin d’ accuser  l’ONU d’assister au génocide  des congolais. La carte du génocide de Tutsi refait surface encore! La raison qui pousse le FPR et Kagame à agir ainsi que la défaite subit par le M23/RDF face au FARDC dans Rutshuru, ces deux dernières semaines. Kagame est décidé, quel que soit le moyen, de reprendre Rutshuru. Il est grandement connu que le M23 se bat en RDC pour le  pillage  les ressources naturelles du Congo. Le M23 est composé – selon un officier rwandais ayant déserté le M23 et aujourd’hui exilé en Ouganda, composé  environ  de 95% des éléments de l’Armée rwandaise (RDF). Ce mouvement est à la solde de Kagame et son chef l’allemand, Karl Heinz Albers, ancien DG du SOMIKIVU (Société minière du Kivu) qui exploite le Lueshite.

LES CAUSES DE LA GUERRE DANS LA PROVINCE DU NORD-KIVULweshite – Kagame et M23.  Lueshite (LWESHI) est un nom d’un minerai rare qui se trouve seulement en RDC et spécialement à Rutshuru. On le trouve dans une concession à ciel ouvert dans le village de Lweshi, groupement de Bwito, territoire de Rutshuru, province du Nord-Kivu. Il a été découvert par un expatrier belge qui travaillait dans un ONG. Ce dernier rencontrait un prêtre à  Bwito, ainsi, il tomba à un endroit où la fumé sortait de la terre. Lui et le prêtre décidèrent d’appeler un expert belge. L’expert est venu et trouva que cet endroit renfermait  des mystères. L’expert appela le NASA (National Aeronautics and Space Administration).  La NASA va explorer le lieu pendant deux ans. En 1988, la NASA découvre un minerai rare qu’ils vont dénommer « Lueshite ». Ce minerai est utilisé dans l’aérospatiale, avions de guerre, conduite de pétrole, ect…

  1.  Kagame et Lueshite: avant la guerre de libération le SOMIKIVU exploitait le Nobuim et explore le Lueshite dans cette région. SOMIKIVU qui est une société allemande dirigée par Karl Heinz Albers. Ce dernier va acheter tous le part des actionnaires en 1993, qui apparemment, se sont désistés à cause de l’insécurité à ce temps-là au Nord-Kivu (Conflit entre Hutu-Tutsi et autochtone congolais). Il est important de rappeler, que ce conflit a été alimenté par le FPR…Kagamé, encore rebelle au Rwanda, envoyait des commandos au Zaïre pour assassiner les Tutsis, puis amputé cella au Hutu et autres autochtones congolais pour montrer que le Tutsis sont haïs au Zaïre. Durant la guerre de libération, le projet de Lueshite va s’arrêter.                                                                                               Laurent Désiré Kabila prend le pouvoir, et abolit la société SOMIKIVU. Mr. Albers se voit perdre la concession. Kabila vend la concession à un autrichien Michael Krall. Krall va ouvrir une société qui s’appelle Edith Krall Métal Congo SCRAL en 1999. Albers va rapprocher le FPR vers l’année, 2000. Il va soutenir le FPR et Kagame à renverser le pouvoir à Kinshasa pour reprendre la concession de Lueshite. Il va s’installer au Rwanda; engagea un millionnaire rwandais et un de grand financier du FPR, Tribert Rujugiro. Ces deux gens vont exploiter la concession jusqu’aujourd’hui.
  2. Lueshite et M23: Toutes ces guerres qui se sont déroulées au Nord-kivu se sont tournées autour de Bwito. Voilà pourquoi les officiers rwandophones ne voulaient pas quitté le Nord-Kivu. La perte de Rutshuru signe un arrêt total du monopole de Lueshite par Albers. Or, ce dernier aurait prêté beaucoup d’argent à Kagame pour financer le CNDP et M23. Il a aussi aidé Kagame dans une mascarade d »arrestation en Allemagne de Rose Kabuyé, membre du FPR, pour l’envoyer en France afin d’accéder au dossier de l’attentant d’Habyarimana. La défaite du M23 ces dernières semaines a basculé tout le monde. Albers ne quitte plus son téléphone et n’arrête pas de menacer Kagame  si Rutshuru tombe. Kagame lui aussi ne dors plus. Son état-major est divisé à cause de la guerre au Congo. Voilà ce que nous renseigne l’Article. En passant, Kagame est hospitalisé de la maladie de bipolaire et on ne le voit plus dans Kigali…Nkunda et le Général Ibingira ont été blessé dans le parc de Virunga, lors d’une embuscade de FARDC durant la prise de Kibumba, il y a deux semaines. Pire encore;le bombardement de Rumamngabo et le FARDC a surpris le Rwanda. Déjà Le Rwanda a perdu 52 officiers et deux expert blancs (dont nous  ignorons leurs nationalités)  spécialistes  en utilisation d’armes sophistiqué que le FPR aurait confié au  M23. Les USA a fermé son ambassade à Kigali, Bujumbura, Kampala mais pas à Kinshasa, Dar-es-salam et Nairobi. Cette fermeture n’a rien avoir avec les ressent menace d’Al Quaida. La ressente visite de Clinton à Kigali est motivé par la fin de relations des USA et du Rwanda. La Tanzanie a décidé de chasser tous les réfugiés Tutsi y compris ceux de 1959. Ces réfugiés ont décidé d’en finir aussi avec Kagame, car ce dernier est leurs malheurs dans la région. Soyez bénis et espérons à une bonne fin de cette guerre imposé aux Congolais….INGETA

Nous assistons à la fin du regne de Paul Kagame, Kanambe alias Kabila avec ses collabos.

 

par  Lucien NGANDO

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13 août 2013 2 13 /08 /août /2013 17:40

 

 

 

Kigali (© 2013 AFP) - Près de 2.000 Rwandais, considérés comme illégaux en Tanzanie, sont rentrés dans la précipitation au Rwanda ces derniers jours, intimidés disent-ils par les autorités tanzaniennes dans un contexte de tensions entre les deux pays, a affirmé samedi à l'AFP un responsable rwandais.
Samedi 10 août 2013 | 16:43 UTC
Près de 2.000 Rwandais ont fui la Tanzanie

© AFP/Archives Steve Terill. Des réfugiés rwandais.

 

"Depuis lundi, jusqu’à hier soir (vendredi), nous avons reçu environ 1.900 personnes," a déclaré Jean-Claude Rwahama, un responsable du ministère rwandais en charge des réfugiés.

 

Selon lui, la plupart ont pu rejoindre "des proches dans différentes régions du Rwanda", mais Kigali a mis en place un centre de transit à Kirehe, localité rwandaise à une dizaine de km de la frontière tanzanienne, pour les accueillir.

Le président tanzanien, Jakaya Kikwete, avait annoncé fin juillet sa volonté d'expulser, sous deux semaines à compter du 29 juillet, tous les immigrés illégaux présents sur le sol tanzanien. Début août, il avait répété avoir demandé à la police, l'immigration et aux renseignements de mener "une opération spéciale contre le banditisme et les immigrants illégaux" passé ce délais. Il ne visait cependant pas seulement des Rwandais, mais aussi des ressortissants d'autres pays comme le Burundi ou la République démocratique du Congo (RDC).

 

Selon M. Rwahama, les Rwandais qui reviennent vivaient en Tanzanie depuis des années et y sont parfois nés. Ils sont considérés comme illégaux en Tanzanie, mais certains affirment avoir des papiers officiels, a-t-il ajouté.

"Certains sont partis car ils ont eu peur de l’ultimatum (...), d'autres disent avoir été forcés à partir," a-t-il dit.

Leur retour au Rwanda intervient en période de tension entre la Tanzanie et le Rwanda.

Fin mai, M. Kikwete avait proposé à plusieurs dirigeants de pays voisins, dont le président rwandais Paul Kagame, d'entamer des discussions avec des groupes rebelles actifs dans la région, pour tenter de stabiliser une zone chroniquement troublée.

 

M. Kamage avait été invité à parler avec les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), l'une des nombreuses rébellions basée dans la province du Nord-Kivu, dans l'est de RDC. Les FDLR, rebelles hutu, sont traquées par Kigali depuis la fin du génocide des Tutsi au Rwanda en 1994.

La proposition avait été qualifiée d’"aberration" par la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, et a depuis alimenté de violents échanges verbaux entre les présidents Kagame et Kikwete.

La Tanzanie participe à une brigade spéciale de l'ONU chargée de démanteler les groupes rebelles opérant dans l'est de la RDC, mais que le Rwanda regarde avec suspicion.

 

Les groupes rebelles en question comptent les FDLR, mais aussi les combattants du M23, mouvement composé essentiellement de Tutsi congolais qui combattent l'armée de RDC et que l'ONU accuse Kigali (malgré ses démentis) de soutenir.

Jeudi devant la presse, Mme Mushikiwabo a affirmé que les autorités rwandaises n’avaient "pas été consultées" sur l'explusion des illégaux.

 

 

Votre réseau de partage.

Le Ngombol

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13 août 2013 2 13 /08 /août /2013 15:23

 

 

 

 

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image Six inciviques stratèges et fossoyeurs de la RDC

 

Les fameuses « Concertations nationales » et la « Transition » que l´on cherche à imposer aux Congolais, ne sont qu´une grosse farce, dont le seul but que le maintien illégitime d´alias « Joseph KABILA » au pouvoir jusqu´en 2019, voire jusqu´en 2021. Tout a été vérouillé d´avance, et ce n´est qu´un marché de dupes. À la classe politique consciente, à la société civile et au peuple congolais tout entier de rester lucides d´esprit, vigilants et de ne pas s´y faire prendre. 

 

De nos sources, il nous revient les renseignements suivants. Pendant que « Joseph KABILA » par l´entremise de Léon KENGO wa DONDO comme président du Présidium, son désormais nouveau « Joker », essaie d´entretenir la classe politique, la société civile et le peuple congolais dans la distraction, à travers l´annonce en grande pompe de la nomination d´un Secrétariat technique et l´adoption d´un bugdet des « Concertations nationales », dont l´idée a de toute façon déjà été rejetée par l´Opposition depuis le 7 août dernier, à travers une déclaration officielle; ses acolytes, nous affirment nos sources, s´emploient pourtant nuit et jour, à échafauder différentes stratégies en faveur de leur chef et de leur pouvoir illégitime et impopulaire, auquel ils tiennent à n'importe quel prix à conserver. 

 

Ainsi, dans le registre de ces dossiers obscurs, les six maîtres de l´ouvrage « Démon-cratie » à la kabilienne pour ainsi ironiser sont: Évariste BOSHAB, Secrétaire général du PPRD parti-État; Norbert NKULU, ambassadeur de la RD Congo au Rwanda;  Augustin MATATA PONYO, Premier ministre sortant; Aubin MINAKU, Président de la Chambre basse du Parlement (l´Assemblée nationale), et Moïse EKANGA dit « Monsieur les 5 Chantiers » ; et bien sûr, l´abbé Apollinaire MALU-MALU comme personnage central et « autorité morale ». Pourtant, ce dernier avait été en juin 2012, désavoué et viré par l´Église catholique de son poste de Directeur général de l´Institut Panafricain Cardinal Martino, pour cause d´indiscipline aux consignes de la hiérarchie et comportement hérétique. Laissez la politique aux politiques! Telle est la ligne droite (ou de conduite) édictée par la Conférénce Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) à l´attention de l´ensemble du Corps des prélats. 

 

En effet, derrière ces beaux, mais fallacieux décors de fameuses « Concertations nationales et ses 450 participants » déstinés à la consommation du public congolais et de la Communauté internationale, cette équipe infernale composée uniquement de Congolais de souche et tous membres du PPRD parti-État, accrochés à leurs intérêts partisans et mesquins, sont bien décidés à mettre « leurs intelligences et leurs différents talents » dans la vente et l´hypothèque de l´avenir de leur si riche pays pour sans doute plusieurs décénnies, en travaillant d´arrcahe-pied dans les coulisses, au service non pas de la nation, mais du Mal et de l´imposture. Ainsi, ils s´activent à concevoir toute une panoplie de « scénarios hollywoodiens » interchangeables, dignes de la mafia sicilienne de la Cosa Nostra à mettre en application, en vue du maintien illégitime d´alias « Joseph KABILA » au pouvoir. 

 

Les Buts Inavoués de ces Soi-Disant « Concertations Nationales », sont loin d´Être dans l´Intérêt de la Nation congolaise.

La politique n´étant pas une science exacte où l´on peut être certain d´obtenir des résultats escomptés tels que planifiés, ne vous y trompez pas car, autant que vous, ces six précités inciviques stratèges et fossoyeurs de la République en sont bien conscients. Et pour ce faire, tout semble avoir été prévu par ceux-ci. Ainsi donc, en vue de la réussite des objectifs qu´ils se sont fixés, signalons qu´une espèce de « Banque de stratégies » qui s´enrichit tous les jours de nouveaux éléments, a été constituée. Banque à laquelle ils pourront avoir recours - lorsque le besoin se ferait sentir - à la stratégie la mieux adaptée à telle ou telle autre situation, selon que les événements se devélopperaient. Histoire de prévenir et d´anticiper sur les événements plutôt que de les subir.

 

Ceci dit, la prochaine pièce de théâtre en gestation et qui s´ouvrira si tout va bien comme prévu ce jeudi 15 août 2013, que l´on voudrait donner en spectacle aux Congolais, et désormais connue sous le vocable de « Concertations nationales » , reposera sur un dangereux soubassement dont le peuple voire une bonne frange du personnel politique, ignorent – « le dessous des Cartes » -  la vraie nature. Selon nos sources, les travaux de ces assises se dérouleront, vous êtes loin de vous en doutez, sous un tapis de machavéliques et anti-républicaines stratégies pré-élaborées, dont en voici pour ainsi dire, les trois principaux actes:

Stratégie ou ACTE 1

D´après ces six inciviques stratèges et fossoyeurs de la République, il faudrait absolument aller aux « Concertations nationales », assises dont les grandes lignes et les résolutions ont déjà été unilatéralement arrêtées par les conspirateurs au pouvoir, et à l´issue desquelles Léon KENGO wa DONDO serait nommer Premier ministre. Et aussitôt possible après sa désignation à ce poste, celui-ci va pouvoir former son gouvernement censé entrer en fonction dès le mois de septembre prochain, tout en tâchant de ne pas y associer les membres de l´UDPS et du MLC, considérés comme faisant partie de « l´Aile dure » de l´Opposition; et dont les deux leaders respectifs, en l´occurence Jean-Pierre BEMBA GOMBO et Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, avaient été jadis : les vrais vainqueurs selon la vérité des urnes, des élections présidentielles d´octobre 2006 et de 28 novembre 2011. Et ces vérités indéniables, « Joseph KABILA » autant que ses courtisans les savent mieux que quiconque. Ce sont là les causes tant lointaines que proches de la crise actuelle.

 

Alors, au cas où il arriverait que la majorité de ces 450 participants s´opposent à la nomination de Léon KENGO wa DONGO à ce poste, pour diverses raisons liées notamment à son passé pas complètement glorieux à bien des égards ; car il faudra par ailleurs rappeler que ce dernier est un vieux septagènaire à la santé très sérieusement fragilisée au cours des dernières années par la maladie, et qui, en 2015, va pouvoir souffler ses quatre-vingts bougies d´anniversaire. Et à 80 ans d´âge, rien ne garantie qu´il aura su conserver toute sa « légendaire rigueur » et toutes ses prouesses d´autrefois. Un argument non négligeable qui pourrait lui être opposable. Il pourrait donc se voir frapper par la limite d´âge, et par conséquent, on pourra lui préférer un plus jeune premier ministre plein de vitalité. 

 

Face à cette plausible éventualité, nous réaffiment nos sources, les six inciviques stratèges du régime d´Occupation et fossoyeurs de la République susmentionnés, ont à cet effet prévu une solution de réchange au profit du même KENGO wa DONGO. C´est-à-dire un autre poste à haute responsabilité aux prérogatives renforcées, à savoir: celui de Vice-Président de la République. Car, pour « Joseph KABILA », il est impérieux que son désormais nouveau complice de circonstance et lui, constituent un tandem au niveau du pouvoir exécutif. Seule garantie pour lui, pour pouvoir faire avaler l´amère pilule aux bailleurs de fonds et à la Communauté internationale, et attendrir ainsi leurs ardeurs par rapport à son énième coup d´État constitutionnel. Pour l´avenir, il verra sans doute après comme s´en débarrasser. 

 

En effet, si au terme de ces « Concertations nationales » les choses se passaient telles que prévues par ces inciviques stratèges de l´imposteur rwandais, un gouvernement sera mis en place à partir de septembre 2013. Ce qui marquera là, le début d´une très longue Transition qui ira jusqu´en 2019, voire jusqu´en 2021. Car, c´est bien cela l´échéance voulue par les conspirateurs au service de l´imposture. En termes plus explicites, il faudra préciser qu´ils veulent, grâce à des subterfuges, donner un autre mandat  de cinq (5) ans supplémentaires à leur maître, après 2016. Année au cours de laquelle prendra fin son actuel « mandat volé » au Président élu de la République, Son Excellence Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA. Ainsi, si jamais ce schéma venait à se concrétiser, l´imposteur rwandais aura alors dans ce cas, réussi son pari de rester illégitimément - et par défi - au pouvoir, sans avoir eu à toucher à la Loi fondamentale.

Stratégie ou ACTE 2

La deuxième stratégie des conspirateurs du PPRD parti-État se résume en cette triste réalité-ci. Le but poursuivi à travers lesdites « Concertations nationales » par ceux-ci et leur maître dans la formation du gouvernement de transition, est en réalité celui de faire en sorte qu´il n´y ait pas d´élections en 2016. Et vous remarquerez d´ailleurs que rien n´a encore jusque-là été entrepris par ces détenteurs du pouvoir d´Occupation, en vue de l´organisation d´élections provinciales et locales. C´est loin d´être anodin, rassurez-vous, contrairement à ce que vous pourriez être tenté de croire. Ceci est fait de façon délibérée. En effet, ils envisagent plutôt de les organiser d´après l´agenda caché de leur plan d´action, vers la fin de l´année prochaine 2014, pour que les nouvelles institutions qui en sortiront, soient enfin installées et deviennent opérationnelles en 2015. 

 

Une fois les choses bien installées, en 2016 à l´approche des échéances, alors que son « mandat volé » devra toucher à son terme, l´heure aura enfin sonné pour Apollinaire MALU-MALU, en sa qualité de Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), d´entrer en scène et jouer sa partition. Laquelle partition consisterait à sortir leur « Artillérie Lourde », en faisant valoir comme prétexte à l´intention de la Communauté internationale - car le peuple congolais ne compte pas du tout à leurs yeux - la nécessité absolue de procéder au recensement des populations congolaises, dont la population totale ne serait jusque-là qu´estimable et non quantifiable. Et ceci, comme préalable à la tenue d´élections transparentes et crédibles. Et pour gagner du temps, ils vont de nouveau se livrer à des manoeuvres dilatoires qu´ils justifieront par le manque de ressources nécessaires pour le financement des fameuses opérations de recensement. Il reviendrait donc selon leur logique, à la Communauté internationale d´en payer la facture, si elle souhaiterait voir les élections se tenir. 

 

Enfin là aussi, comme dans le premier cas de figure, l´Imposteur rwandais et sa pléiade de courtisans congolais de petite vertu auront, grâce à différentes excuses toutes trouvées, réussi d´un côté à ignorer et à contourner la Constitution, et de l´autre, à répousser les échéances électorales générales jusqu´en 2019, voire jusqu´en 2021, tel que le prévoit leur machiavélique schéma politicien. 

Stratégie ou ACTE 3

Enfin, dans le pire des cas, si jamais les deux précédentes stratégies venaient à échouer par la force des choses imprévues, une solution alternative de dernier recours a également été envisagée par ces minables experts de la fraude, dans le cadre de l´élaboration de leurs combines anti-démocratiques et anti-républicaines. Pour ce faire, ils se priveraient cette fois-là, de prendre des gants pour agir, mais utiliseraient plutôt des gros moyens pour l´achat de consciences des 500 députés nationaux siégeant à l´Assemblée nationale. Car, les moyens financiers, c´est là le cas de le dire, Joseph KABILA et ses vassaux congolais, en ont suffisamment engrangés au cours de son règne de plus de douze ans, essentiellement caractérisé par la mégestion, le bradage et le pillage systématique des richesses de la RD Congo. 

Ainsi donc, grâce au produit de la vente à vil prix d´une mine tout récemment dans la province du Katanga, soit à cinquante millions de dollars américains (50 000 000 US$), il projette de les arroser de cent mille dollars américains (100 000 US$) à chacun (par député). Il lui suffirait juste d´avoir le 3/4 des députés acquis à sa cause, pour voir ses volontés transformées comme par un coup de baguette magique en Lois. Là, est la tâche à laquelle Aubin MINAKU, en sa qualité de Président de l´Assemblée nationale, a été assigné et qu´il sera emmené à remplir le moment venu. 

Voici comment un Professeur dit d´Université, qui devrait en principe être Honorable, se Réduit en un Minable Lèche-bottes, prêts Tout contre sa Nation pour l´argent !

 

Dans la foulée, Évariste BOSHAB, en digne lèche-bottes, qui en fait franchement trop pour gagner les bonnes grâces de son maître, s´en est allé à pousser son drôle de toupet jusqu´à proposer, au cas où aucune de ces stratégies évoquées ci-haut n´aboutissait, qu´Olive LEMBE, l´épouse de son mari, se porte candidate pour l´élection présidentielle de 2016.

 

D´ailleurs pour s´en convaincre, qu´elle se fait d´ores et déjà préparer pour ce pour poste, vous remarquerez qu´elle participe ça et là, et comme jamais auparavant, à différentes cérémonie d´inauguration. Une façon subtile de préparer psychologiquement le peuple à cette éventualité.

 

Enfin, selon le même Évariste BOSHAB, à l´hypothèse où la « Carte Olive LEMBE » ne serait pas non plus couronnée de succès, eh ben là, on aura plus qu´à recourir à Zoé ou à Janet « KABILA ». Respectivement, jeune frère et soeur aînée de notre Imposteur et Usurpateur national faisant office de Président de la République. Mais en cas d´échec de toutes ces stratégies, monsieur le « Professeur de droit constitutionnel » au service de l´imposture, s´est engagé à peser de tout son poids et de faire tout ce qui est en son pouvoir, en usant bien entendu de ses talents de juriste, pour trouver des failles dans l´actuelle Constitution, afin d´obtenir à la faire déclarer caduque et inadaptée à la situation actuelle du pays. C´est cynique !

 

Car, suivant sa stratégie pré-élaborée, Évariste BOSHAB fera valoir l´un de ses argumentaires les plus afflûtés selon lequel: « l´actuelle Constitution de la République avait été rédigée en temps de guerre, ou sinon en période post-conflit immédiatément après la guerre. Et qu´à cet égard, elle est désormais inappropriée aux réalités du moment, plus/près d´une décénnie après sa promulgation en octobre 2005, elle a atteint ses limites. Et que par conséquent, il faudra à la RD Congo de se doter d´une nouvelle Constitution pouvant lui assurer  un meilleur fonctionnement ». Fin de citation. 

Et une fois son coup réussi, cela reviendrait à ce que, les deux mandats de 5 ans que « Joseph KABILA » aura effectués à  la tête du Congo, tomberaient ipso facto à l´eau et remettraient le compteur à zéro. Exactement, à l´image de son tout premier mandat illégal compris entre janvier 2001 à octobre 2006, des suites de son coup d´État militaire avec effusion de sang, soldé par l´assassinat du Président M´zee Laurent-Désiré KABILA. Ainsi donc, sa voie pour la Présidence de la République sera dorénavant dégagée d´obstacles, et il ne lui restera plus qu´à en briguer une nouvelle fois : « un énième mandat de 7 ans », et non 5 ans, car BOSHAB aura déjà réussi à en prolonger la durée. 

 

Ainsi, pour s´assurer que plus rien ne viendrait faire obstacle à l´aboutissement de leur projet de maintien de « Joseph KABILA » au pouvoir, le régime d´Occupation a procédé en juillet dernier à un travail de neutralisation en amont, en épurant de fond en comble ; et ce, sous des sophistes prétextes, l´Armée nationale congolaise (les FARDC) de plusieurs centaines de ses hauts gradés les plus formés et les plus  aguerris. Parmi lesquels des officiers généraux, des officiers supérieurs, des sous-officiers et officiers subalternes, pour être remplacés dans la majorité par des infiltrés rwandais acquis à sa cause, entrés dans l´Armée nationale par biais de soi-disant « Brassage ou Mixage ». Des bizarres de termes, dont on a jamais entendu parler nulle part ailleurs. Bref, pourrait-on alors dans ces conditions, tirer la conclusion que le régime d´Occupation a d´office réussi son coup fourré tendant à la neutralisation de l´instrument de la défense du pays, et qu´il n´y aurait plus désormais grand-chose à s´y attendre? Seul l´avenir nous le dira.

 

De ce qui précède, on est emmené à dire en guise de conclusion que les fameuses « Concertations nationales » et la « Transition » que l´on cherche à imposer aux Congolais ne sont qu´une grosse farce, destinée à faire une nouvelle fois, le lit de l´ imposture à la tête de la RD Congo. Tout a été vérouillé d´avance, et ce n´est qu´un marché de dupes. En d´autres termes, son seul but n´est autre que le maintien illégime d´alias « Joseph KABILA » au pouvoir jusqu´en 2019, voire jusqu´en 2021. 

 

À la classe politique consciente, à la société civile et au peuple congolais tout entier de rester lucides d´esprit, vigilants et de ne pas s´y faire prendre.

 

STOCKHOLM, le 12 août 2013

 

Pépin LULENDO

 

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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 08:31

 

 

Nelson Mandela "fait des progrès lents mais réguliers"
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Nelson Mandela, hospitalisé depuis plus de deux mois à 95 ans, "fait des progrès lents mais réguliers", mais "est toujours dans un état critique", a annoncé dimanche 11 août la présidence sud-africaine.

"L'ancien président Nelson Mandela est toujours soigné dans un hôpital de Pretoria et les médecins ont indiqué au président Jacob Zuma" qu'il "fait des progrès lents mais réguliers", selon un communiqué de la présidence. "L'équipe médicale a également rappelé que, bien que sa santé s'améliore régulièrement, Madiba restait dans un état critique", a-t-elle ajouté, appelant le héros de la lutte anti-apartheid de son nom de clan, affectueusement adopté par les Sud-Africains.

Continuons à prier pour le rétablissement de Madiba et pour sa santé", a déclaré le président Zuma, cité dans le communiqué.

Le président sud-africain, théoriquement la seule personne habilitée à donner des nouvelles de son illustre prédécesseur, n'en avait pas donné depuis le 31 juillet.

Zindzi, la plus jeune des filles de Nelson Mandela, a indiqué vendredi à la télévision publique SABC qu'il est "chaque jour plus alerte, plus réceptif", et est désormais capable de quitter son lit pour s'asseoir quelques minutes par jour. Winnie Madikizela-Mandela, ex-femme de Mandela et mère de Zindzi, avait dit jeudi qu'il respirait "normalement", alors que des visiteurs avaient affirmé en juillet qu'il était sous assistance respiratoire. Les deux ont souligné qu'il n'était pas sur le point de mourir.

Agé de 95 ans, Nelson Mandela a été hospitalisé en urgence le 8 juin pour une infection (...)

Lire la suite sur Le Nouvel Observateur

 

Dimanche, 11 Août 2013 10:59 AEM - AFP

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JOHANNESBURG, Afrique du Sud - Nelson Mandela, hospitalisé depuis plus de deux mois à 95 ans, "fait des progrès lents mais réguliers", mais "est toujours dans un état critique", a indiqué dimanche la présidence sud-africaine.

"L'ancien président Nelson Mandela est toujours soigné dans un hôpital de Pretoria et les médecins ont indiqué au président Jacob Zuma" qu'il "fait des progrès lents mais réguliers", a indiqué la présidence dans un communiqué. "L'équipe médicale a également rappelé que, bien que sa santé s'améliore régulièrement, Madiba restait dans un état critique", a-t-elle ajouté, appelant le héros de la lutte anti-apartheid de son nom de clan, affectueusement adopté par les Sud-Africains.

"Continuons à prier pour le rétablissement de Madiba et pour sa santé", a déclaré le président Zuma, cité dans le communiqué.

Le président sud-africain, théoriquement la seule personne habilitée à donner des nouvelles de son illustre prédécesseur, n'en avait pas donné depuis le 31 juillet.

Zindzi, la plus jeune des filles de Nelson Mandela, a indiqué vendredi à la télévision publique SABC qu'il est "chaque jour plus alerte, plus réceptif", et est désormais capable de quitter son lit pour s'asseoir quelques minutes par jour.

Winnie Madikizela-Mandela, ex-femme de Mandela et mère de Zindzi, avait indiqué jeudi qu'il respirait "normalement", alors que des visiteurs avaient affirmé en juillet qu'il était sous assistance respiratoire.

Les deux ont souligné qu'il n'était pas sur le point de mourir.

Agé de 95 ans, Nelson Mandela a été hospitalisé en urgence le 8 juin pour une infection pulmonaire. Il a frôlé la mort fin juin, son état étant considéré comme "critique" depuis le 23 juin. La présidence fait depuis état de progrès réguliers, mais refuse d'entrer dans les détails en invoquant le secret médical.

Les problèmes pulmonaires de Mandela sont probablement liés aux séquelles d'une tuberculose contractée pendant son séjour sur l'île-prison de Robben Island, au large du Cap, où il a passé dix-huit de ses vingt-sept années de détention dans les geôles du régime d'apartheid.

 

 

 

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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 08:03

 

 

 

image Koffi OLOMIDE

 

Accusé d'atteinte, à mi-teinte, à la pudeur, après la sortie de son album "Abracadabra". Inculpé pour «viol sur mineures, séquestration, actes de barbarie en bande organisée et trafic d’êtres humains» par une juge du tribunal de Nanterre en France, en février 2012, Koffi OLOMIDE, ami du président congolais Hippolyte KANAMBE alias «Joseph KABILA», ne chante pas des trucs. Il chante que des bêtises, des nullités qui abrutissent le peuple Congolais. Cet homme qui doit son succès qu' au fait qu'il flatte les instincts les plus bas des hommes, se prend pour un grand artiste. La République Démocratique du Congo (RDC) mérite d'être représenté par des artistes plus talentueux à l'image du Grand KALE, Franco LUAMBO, Tabu LEY.... mais aussi Lokua KANZA, Ray LEMA, PAPA WEMBA.... Suivez la video ci-dessous pour voir l'insolence de ce violeur de mineures face à un journaliste

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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 07:57

 

 

 

KongoTimes!

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image Koffi OLOMIDE - Violeur de mineurs ?

 

Dans une vidéo postée sur You tube, le titre ne fait aucun doute sur son caractère de propagande. L’artiste musicien Koffi Olomide, chante les louanges et les réalisations du président Congolais, Joseph Kabila, candidat à sa succession pour la présidentielle du 28 novembre prochain.

Sur une musique rythmique aux accents folklorique, l’artiste égraine les raisons du choix en faveur du Président Joseph Kabila. D’entrée, il plante le décor : personne n’a le monopole de l’amour du Congo.  Et de poursuivre en justifiant son choix, Parce que son amour du Congo a fait ses preuves, Koffi Chante Joseph Kabila. Le message de l’artiste est clair. Il a fait un choix, partant de ce qu’il a pu voir sur terrain et des différentes réalisations de l’actuel chef de l’Etat de la République démocratique du Congo.

 

C’est ainsi que l’on peut entendre que Joseph Kabila a construit des hôpitaux, ses 5 chantiers sont une réussite, il a mis fin à la guerre, etc. Que des actions positives à l’actif du candidat Président. 

Virage à 180 degré 

Curieusement, nous sommes aussi tombés sur une autre vidéo, antérieure à celle de la chanson, osons le dire, chanson de propagande. Dans celle là, l’artiste congolais Koffi Olomide, invité de l’émission Fauteuil Blanc, répondait aux questions de la journaliste Gaël Kibungu. 

Heureusement que là encore une fois, l’artiste avait un message un clair à l’égard du pouvoir en place. Les sujets d’actualité et de politique ont été évoqués. Sur les 5 chantiers, Koffi Olomide avait déclaré que c’était un canevas, il attendait aussi voir la concrétisation. Bien entendu comme tous les Congolais.

Et d’affirmer, quand je rencontre mes amis qui travaillent autour du chef de l’Etat, je leur demande ça commencera quand les routes, les hôpitaux, les salaires, etc. Dans son analyse du quotidien des congolais, l’artiste enfonce encore le clou. On en a marre de tout ce monde qui s’enrichit au détriment du peuple congolais. On souffre trop, on n’a pas à manger, on ne sait quoi faire… Vraiment, cette lecture semblait être la réalité que l’artiste percevait en ce moment là.

 

Pour ce qui de l’électricité, Koffi Olomide, évoque le fait que la RDC dispose de l’un de grand barrage hydro-électrique au monde, et que ce pays est confronté à des problèmes de coupure de courant. On ne comprend pas. Je me demande comment on fait des dans cliniques privées à Kinshasa quand il n’y a pas de courant ? Qu’on ait pitié de ce peuple qui a souffert comme personne, lâche sur un ton triste le musicien congolais, l’homme aux quatre trophées de la Kora awards.  Le contraste des points de vue est flagrant entre les deux prises de position. Et le musicien appelle toute la population congolaise, à  voter pour le candidat de son choix, Joseph Kabila. 

D’une critique soutenue, Koffi Olomide est devenu le chantre des louanges du candidat Président. En démocratie, son choix ne souffre d’aucune critique. Mais, le hic, c’est que l’artiste qui ne voyait rien sur terrain, tout d’un coup, comme sorti d’un profond sommeil, voit subitement toutes les réalisations du Président de la RD Congo, alors que les sceptiques voient beaucoup à dire sur le bilan de Joseph Kabila.

Est-ce un virage à 180 degré ? Là où l’artiste voyait noir, tout devient, d’un coup de baguette magique, blanc, trop blanc même. Si l’artiste dans l’émission Fauteuil Blanc était aussi critique, alors on peut se poser la question de savoir qu’est ce qui s’est passé entre temps ? Etait-ce de la cécité ? Et si tel est le cas, alors Koffi Olomide est guéri. Il aura consulté un bon médecin politique  qui lui aura fait recouvrir la vie. Zut ! Disons, la vue. 

Des connexions

Lorsqu’il lui a été demandé de dénoncer les maux qu’il voyait en RDC, l’artiste dira que chacun fait son travail, le sien est d’être chanteur et de composer des belles chansons.  Il dira même que l’artiste Luambo Franco le faisait, c’est parce qu’il était Mobutiste et avait des connexions avec le pouvoir de l’époque Mobutu. L’on se souviendra que Luambo Makiadi avait aussi composé des chansons pour le feu Maréchal Mobutu. 

Il serait faux ou trop osé par cette analogie de qualifier Koffi Olomide de Kabiliste ? Aurait-il aussi eu des connexions dans les sérails du pouvoir ? Pas impossible en tout cas. Mais l’identifié à un parti serait trop précipité d’une certaine manière, parce que l’artiste lui-même s’identifie du Parti du Peuple Congolais. Serait-ce une autre version du PPRD, Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie ? Dans les deux cas, le mot peuple y est. 

Et le peuple aura entendu les propos de l’artiste, critique hier, aujourd’hui passe du tout faux au tout bon. C’est ça l’art. Disons que comme pour la chanson qu’il avait chanté pour le Patriarche Antoine Gizenga du Palu, ancien premier Ministre de la RD Congo, après les élections, Koffi Olomide est actuellement inspiré pour l’actuel Président. On se demanderait de quelle inspiration ce serait ? Si elle pouvait aussi atteindre tous les congolais, ce ne serait qu’un mérite pour la démocratie en RD Congo.

Bravo l’artiste qui a fait un choix de raison et de conviction pour son candidat Joseph Kabila. Il fallait oser !

 

(Vidéos: You tube.com)

 

Jacques Matand/grandslacstv

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