Le blog de chickomwamba.over-blog.com(Tété - Diulu)

Réagissez ! - 4 commentaires

 

Conseil numéro 1, pour accroître le plaisir masculin: apprendre à maîtriser son éjaculation. 'L’homme bénéficie alors indubitablement d’un orgasme plus long et plus intense', explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue. Plus il se retient, plus il prolonge la durée du plaisir et plus son excitation augmente. Résultat: au moment de l’orgasme, le plaisir libéré est nettement supérieur!
En pratique: 'Les hommes ne savent pas maîtriser le réflexe éjaculatoire. Ils sont génétiquement programmés pour éjaculer en moyenne après 3 minutes', précise Gérard Leleu. Mais pas de panique! 'Ils peuvent bloquer l’éjaculation en arrêtant le va-et-vient, voire en se retirant quelques instants."

 

Certaines positions augmentent le désir, l’excitation et l’intensité de l’orgasme masculin! Posture n°1: la levrette. 'C’est la plus excitante et la plus jouissive pour l’homme', explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue. Première raison: elle permet de voir le corps de sa partenaire. Elle facilite aussi une pénétration plus profonde du vagin, ce qui favorise l’excitation des muqueuses. Autres positions coquines également connues pour augmenter le plaisir chez l’homme: la position d’Andromaque, de l’huître et du tigre.
A noter: varier les positions pendant l’acte sexuel permet aussi de lutter contre la routine et la baisse de désir.

 

C’est certainement LE moyen le plus simple pour accroître l’orgasme masculin: donner de la voix! 'La grande majorité des hommes sont trop discrets au moment de la jouissance, et c’est regrettable car ils jouiraient encore plus fort', révèle le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue. Et oui, une émotion, quelle qu’elle soit, un cri de joie, de tristesse ou de plaisir, est beaucoup plus intense quand elle est exprimée. 'Les femmes ont d’ailleurs compris depuis très longtemps qu’en criant, elles pouvaient doubler leur plaisir', ajoute le sexologue.
En pratique: laissez-vous aller messieurs! C’est aussi très excitant pour votre partenaire d’entendre qu’elle vous procure tant de plaisir.

 

Contrairement aux 'mauvaises' habitudes de certains hommes, 'les caresses préparatoires permettent d’accroître leur orgasme', explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue. Il est donc essentiel de ne pas les négliger!
Mesdames, multipliez les caresses et les baisers sur l’ensemble du corps de votre partenaire (cheveux, visage, buste, pieds…aucune partie ne doit être oubliée). Et continuez en vous attardant de la même manière sur son sexe (un moment propice à la pratique de la fellation). 'Plus la femme stimule l’excitation, plus l’orgasme de son partenaire est puissant', conclut notre spécialiste.

 

'Tout ce qui favorise le désir intensifie l’orgasme', soutient le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue. En clair, même si les mois et les années ont passé, que vous connaissez par cœur le corps de votre cher et tendre, ce qu’il aime, ce qu’il déteste… n’oubliez jamais qu’il faut entretenir le désir.
Comment? Par des choses simples: un nouveau parfum, une nouvelle robe, de nouveaux sous-vêtements… un strip-tease pourquoi pas! D’accord, cette dernière proposition n’est pas 'naturelle' pour toutes les femmes mais entendons-nous: on parle ici d’un strip-tease spontané selon le ressenti et les envies de chacune. Pas d’une chorégraphie bien cadrée avec un déshabillage chronométré.

 

Voici LE moment crucial de l’acte sexuel pour intensifier et prolonger l’orgasme: la caresse du pénis au vagin (de la pénétration à l’éjaculation). 'Plus ce mouvement de va-et-vient du pénis se prolonge, plus la muqueuse pénienne devient sensible, et plus les corps érectiles gonflent', explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue. L’homme ressent alors un plaisir aigu irradiant de l’extrémité de son pénis jusqu’à ses reins, capable de se renouveler à l’infini... jusqu’au moment de l’éjaculation et de l’orgasme tout du moins! 'La jouissance est alors beaucoup plus intense', ajoute le médecin sexologue.

 

'Quand ils font l’amour, l’homme et la femme ne doivent pas être dans la sexualité mais dans la sensualité et l’érotisme', soutient le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue. Pourquoi? Parce que ces deux paramètres jouent sur l’intensité de l’orgasme.
En pratique: il est particulièrement important de créer une ambiance propice à l’acte sexuel avec des bougies, un dîner en tête-à-tête, de la musique... 'Tout ce qui peut faire monter le désir doit être utilisé pour ensuite stimuler et accroître l’orgasme', précise notre médecin sexologue.

 

L’homme aussi a un périnée! Comme les femmes, s’il le muscle, il peut accroître son plaisir. 'Au moment de l’orgasme, les muscles périnéaux se contractent. En les faisant régulièrement travailler, l’homme peut donc majorer l’intensité de son orgasme', explique le Dr Gérard Leleu.
En pratique: pour entraîner ce muscle, il suffit de bloquer plusieurs fois de suite sa miction aux toilettes. On urine alors en 5 ou 6 jets d’affilée (c’est le fameux 'stop-pipi'). On peut aussi serrer les fesses 5 à 15 fois le matin, le midi et le soir. 'Après un ou deux mois, l’orgasme est beaucoup plus fort', confirme le Dr Leleu. Et pour ceux qui seraient réticents, sachez que ces exercices ont un autre avantage (et non des moindres): ils augmentent le maintien de l'érection.

- 16 zones érogènes chez l'homme
- G, A, C, P... Tous les points du plaisir
- 10 trucs pour atteindre l’orgasme à coup sûr.

 

- 'Comment le rendre fou de vous', Dr Gérard Leleu, ed.Leduc.S, 2007
- 'L’homme nouveau expliqué aux femmes', Dr Gérard Leleu, ed.Leduc.S, 2006

 

Lun pour vu

Chicko Mwamba 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réagissez !

Une étude révèle que les personnes optimistes ont des taux élevés de caroténoïdes, que l'on trouve notamment en quantité dans les fruits et légumes de couleur verte et orange, dans leur sang.

Réagissez ! - 7 commentaires

 

Une douleur persistante ou un inconfort permanent sur une zone précise du corps peut être le signe d’un cancer.

 

Plus spécifiquement pour les hommes, une douleur sourde au bas de l’abdomen ou à l’aine peut révéler un cancer des testicules tandis qu'un cancer de la prostate à un stade avancé s’annonce parfois par des douleurs dans les hanches, le haut des cuisses ou une raideur dans le bas du dos

Attention : si les douleurs sont plutôt osseuses, dans les jambes par exemple, ça peut être le signe de métastases dans les os, au stade avancé d’un cancer.

 

 

L’apparition de tâches blanches à l’intérieur de la bouche ou sur la langue peut être le signe d’une zone pré cancéreuse qui peut évoluer en cancer de la bouche ou de la langue.

 

Les risques augmentent si vous fumez, mâchez du tabac et buvez. Cette pathologie concerne essentiellement les hommes à partir de 45-50 ans.

Attention : si vous constatez l’apparition de ces tâches, il est conseillé de consulter un dermatologue ou un dentiste qui réalisera éventuellement une biopsie du tissu suspect.

 

 

Une difficulté à maintenir une érection, une éjaculation de faible volume et douloureuse, ou encore de l’impuissance peuvent être le signe d’un cancer de la prostate.

 

En effet, ce cancer induit un grossissement de la prostate qui peut peser sur l’urètre et nuire à l’éjaculation.

Attention : dans la majorité des cas, ce symptôme peut avoir d’autres causes (fatigue, effets secondaires de médicaments, hypertension…). Pour valider le diagnostic possible de cancer, le médecin réalisera un toucher rectal et un dosage du PSA.

Important : ces dernières années, l'utilisation de la laparoscopie pour soigner le cancer de la prostate permet de préserver dans un certain nombre de cas les bandelettes neurovasculaires et ainsi de limiter les risques de dysfonctionnements érectiles post opératoires.

 

 

Un brutal amaigrissement, une perte d’appétit et la fatigue (un mot, la cachexie, résume ces trois signes) peuvent être le signe d’un cancer en stade avancé.  

 

"La maladie affaiblit le corps et la tumeur augmente la destruction des protéines, des nutriments indispensables au corps", explique le Dr Marina Carrère d’Encause dans son livre "Cancer, toutes vos questions, toutes les réponses".

Par exemple, les cancers du pancréas (qui attaque la partie de la glande qui secrète les enzymes digestives), du rein et de l’estomac, qui touchent plus les hommes que les femmes, induisent une très forte perte de poids.

Attention : si sans faire de régime particulier, vous constatez une perte de poids subite de l’ordre de 10 % de votre poids normal, il est conseillé de consulter un médecin.

 

 

Une toux pendant plus de trois semaines peut être le symptôme d’un cancer du poumon. Les hommes sont plus fréquemment confrontés à ce type de maladie du fait de leur consommation de tabac en moyenne trois fois supérieure à celle des femmes (qui ne tarderont pourtant pas à les rejoindre sur ce terrain !).

 

Si, lors de l’expectoration, du sang apparait, le risque de cancer est accru.

Attention : la toux peut être aussi symptomatique d’une bronchite, d'une grippe ou d’une allergie. Il est conseillé de consulter un médecin pour établir un diagnostic précis grâce, en particulier, à une radio des poumons. 

 

 

 

Une fièvre inexpliquée peut révéler la présence d’un cancer. En général, les cancers déclenchent des fièvres quand ils s’étendent et quittent leur site originel pour migrer vers une autre partie du corps via des métastases.

 

Mais certains cancers, comme celui de l’estomac, (qui touchent davantage les hommes de plus de 50 ans) induisent très tôt une fièvre accompagnée d’une grande fatigue.

Attention : la fièvre est en général le symptôme d’une infection bactérienne ou virale commune. Mais si votre température monte à 38,5 °C pendant plus de 48 heures ou augmente et baisse sans raison particulière, il est conseillé de consulter un médecin.

 

 

Des brûlures lors des mictions (dysurie), un jet d'urine faible ou interrompu, et des envies fréquentes d’aller uriner (pollakiurie) en particulier la nuit, peuvent être symptomatiques d’ un adénome de la prostate (tumeur bénigne).
Une tumeur peut en effet comprimer l’urètre et occasionner ces problèmes urinaires.

Attention : les difficultés à uriner peuvent être aussi le signe d’autres maladies comme une cystite ou des calculs rénaux. Seuls le dosage du PSA (antigène spécifique de la prostate) et le toucher rectal pourront confirmer ou non un cancer. 

 

 

La présence d’une petite boule à la palpation, mais également un écoulement du mamelon, une douleur du sein ou une ulcération de la peau, peuvent être le signe possible d’un cancer du sein… masculin.

 

Comme pour les femmes, les hommes doivent être vigilants à toute modification de l’aspect de leurs seins même si le carcinome mammaire chez l'homme est exceptionnel. Il représente environ 1% de l'ensemble des cancers mammaires. L'âge moyen d'apparition de ce type de cancer se situe entre 60 et 65 ans.

Conseil : si vous observez l’un de ces signes, pensez à consulter un médecin qui vous prescrira éventuellement une mammographie ou une biopsie.

 

 

Des difficultés à avaler de la nourriture solide peut signaler un cancer gastro-intestinal comme celui de l’œsophage. La dysphagie se manifeste par une sensation de gêne ou de blocage au moment des repas pendant le passage des aliments dans la bouche ou l’œsophage.

 

Elle peut s’accompagner dans le cadre d’un cancer d’une douleur à la déglutition et de brûlures d'estomac. A noter que 80 % des cas de cancer de l’œsophage concernent des hommes, âgés de plus de 55 ans.

Attention : ne prenez pas ce symptôme à la légère. S’il se répète, il est conseillé de consulter un médecin qui, au besoin, vous redirigera vers un gastroentérologue pour une endoscopie du tube digestif.

 

 

La présence de sang dans le sperme (hémospermie) ou les urines (hématurie), peut parfois indiquer un cancer de la prostate ou d’une vésicule séminale.

 

Dans le cas d’une tumeur, le saignement sera plutôt intermittent.

Attention : le sang dans les urines ou le sperme est la plupart du temps le signe d’autres maladies plus bénignes comme l’hyperplasie de la prostate, une cystite ou des calculs rénaux.
Pour valider le diagnostic, le médecin réalisera un toucher rectal et un dosage du PSA.

 

 

Un testicule qui devient subitement plus gros que l’autre, une masse dure mais indolore localisée à l’intérieur ou encore une pesanteur locale persistante dans le scrotum peuvent être les signes d’un cancer… des testicules.

 

En général, ces symptômes ne sont pas associés à un trouble urinaire. Un simple auto diagnostic avec une palpation permet de révéler ces signes.

Attention : certains cancers des testicules se développent très rapidement et peuvent s’étendre via des métastases à d’autres organes. N’hésitez donc pas à prendre rendez-vous avec un médecin dès les premiers symptômes.

A savoir : c’est un cancer qui touche en priorité les hommes jeunes, entre 20 et 45 ans.

 

 

L’apparition de plaques brunes ou de lésions cutanées sur l’épiderme ou les muqueuses peut indiquer un cancer en devenir.

 

Les dyskératoses, un trouble de la kératinisation (transformation des couches superficielles de la peau qui s'enrichissent progressivement de kératine), se transforme souvent en carcinome (type de cancer de la peau). Elles concernent davantage les seniors.

Attention : n’attendez pas trop longtemps pour consulter si vous observez l’apparition de ces taches car certains de ces cancers, qui métastasent rarement, s’ils ne sont pas enlevés rapidement peuvent devenir très disgracieux, d’autant qu’ils siègent volontiers sur le visage.

 

 

Une grosseur sous l’aisselle ou le cou peut être le signe d’un cancer. Les ganglions lymphatiques, qui abritent les cellules de l’immunité, deviennent plus volumineux suite à une infection et deviennent palpables dans ces zones.

 

Un gonflement sous le bras peut renvoyer à un cancer du sein masculin.

Lorsqu’une tumeur a atteint une taille assez importante, "il arrive que des cellules cancéreuses soient libérées dans la circulation lymphatique. Elles sont alors arrêtées, comme par un filtre, dans les ganglions surveillant l’organe malade", explique le Pr Philippe Jeanteur, cancérologue dans son livre "Cancer toutes les réponses à vos questions."

Attention : ces grosseurs sont plus souvent typiques d’une infection bactérienne ou virale (angine, mononucléose, rubéole…), mais il est préférable de consulter son généraliste si l’on en palpe une, en dehors de tout contexte infectieux.

 

 

Association "Le cancer du sein parlons-en"
- "Cancer toutes les réponses à vos questions", Pr Philippe Jeanteur, éd John Libbey, 2004
- "Cancer toutes vos questions toutes les réponses", de Marina Carrère d’Encausse et Michel Cymes, éd. Marabout, 2008.

 

 

Pour une meilleure prévention

Chicko Mwamba 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réagissez !

 

Les vertus aphrodisiaques du ginseng pourraient bien être remises en question. Selon une étude corréenne publiée dans l'International Journal of Impotence Research, il n'aurait pas plus d'efficacité contre les troubles érectiles qu'un placebo. Des chercheurs ont réparti 59 hommes âgés de 20 à 70 ans souffrant de dysfonction érectile, en deux groupes. Pendant huit semaines, un groupe a reçu quotidiennement quatre comprimés à base d'extrait de ginseng alors que l'autre n'a pris qu'un simple placebo. Après s'être engagés à avoir au moins quatre relations sexuelles par mois, les sujets ont dû répondre à quinze questions sur leurs difficultés érectiles et sur leur satisfaction sexuelle (orgasme, désir...). Les résultats ont démontré que le ginseng n'améliorait pas la satisfaction de l'homme lors du rapport sexuel, ni son plaisir, ni son désir. Seuls bienfaits constatés par les scientifiques : une légère amélioration de la fonction érectile et un retardement de l'éjaculation. Les recherches doivent se poursuivre afin de valider ces conclusions.

 

Source : Choi YD, Park CW, Effects of Korean ginseng berry extract on sexual function in men with erectile dysfunction: a multicenter, placebo-controlled, double-blind clinical study, 2012 Dec 20.

 

 

Mieux pour vous, que d'ignorer!

 

Chicko Mwamba

Réagissez !

 

Pour les meilleurs de votre santé

Chicko Mwamba