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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 22:02

 

(22/01/2013)

Elles sont brésiliennes mais elles se la jouent à l'américaine


NEW YORK C'est la plus belle paire de fesses du Brésil et elle appartient à miss Carine Felizardo. La nouvelle détentrice de ce titre tant convoité – Miss Butt Brazil 2012 – a inauguré sa récente victoire à Big Apple. Elle est la seconde lauréate du concours depuis sa création. Du haut de ses 25 ans, la belle s'est promenée sur Time Square en tenue légère malgré le froid de l'hiver, et ce pour le plus grand plaisir des passants et autres touristes new-yorkais. La blonde pulpeuse a pris la pose pour les photographes bardée de son plus beau sourire. Mais était-ce son joli minois qui attirait les regards? C'est à voir...

La rédaction en ligne

© La Dernière Heure 2013

Pour le plaisir de vos yeux

Chicko Mwamba

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 11:46

 

Rappel

C'est du gisement de Shinkolobwe que fut extrait l'uranium qui permit aux États-Unis de construire la bombe atomique lancée sur Hiroshima, celle lancée sur Nagasaki étant à base de plutonium issu de réacteurs nucléaires, eux-mêmes alimentés par le combustible uranium[1].

L'uranium fut vendu aux américains dans le cadre du projet Manhattan par Edgar Sengier, le directeur de l'union minière du Haut Katanga qui avait eu l'intuition de l'importance de l'uranium et avait fait transporter 1 200 tonnes de minerai à New York dès 1939. Officiellement la mine d'uranium est fermée depuis 1960 à cause du coût d'exploitation[2] et de sa dangerosité (le 9 novembre 1954, 27 travailleurs congolais y perdirent la vie).

 


Les peuples allemand et français ont célébré hier lundi 21 janvier 2013 le cinquantième anniversaire du Traité de l'Elysée. Le 22 janvier 1963, le Général français Charles De Gaulle et le chancelier allemand Konrad Adenauer, deux grands hommes d'Etat du 20ème siècle, ont transformé le rêve de Robert Schuman en une réalité quotidiennement vécue. La jeunesse allemande, en particulier, a accepté avec enthousiasme l'offre du Général De Gaulle de construire une nouvelle Europe, dont le moteur a été la coopération franco-allemande. Ce traité marquait ainsi une nouvelle ère dans les relations entre la France et l'Allemagne, aujourd'hui considérées comme le moteur de l'union européenne. A l'occasion de cet anniversaire, les chefs de la diplomatie française et allemande ont publié hier lundi 21 janvier 2013 une tribune dans lequel ils ont voulu partager leur expérience historique avec le peuple de la République démocratique du Congo.



" Nous célébrons aujourd'hui le 50ème anniversaire du Traité de l'Elysée, qui marque la réconciliation franco-allemande après trois guerres meurtrières, dont deux mondiales au XXème siècle. Elles avaient endeuillé et partiellement détruit nos deux pays et une grande partie de l'Europe, comme bien d'autres régions du monde dans lesquelles ces conflits s'étaient propagés, y compris en Afrique. La déclaration de Robert Schuman du 9 mai 1950 a mis fin aux " inimitiés héréditaires " et a ouvert la porte à la réconciliation franco-allemande, vers une Europe plus unie, plus solidaire : " le rassemblement des nations européennes exige que l'opposition séculaire de la France et de l'Allemagne soit éliminée. ", ont déclaré les autorités françaises et allemandes.

Ces cinquante dernières années, les relations entre les Français et les Allemands se sont constamment approfondies dans les domaines de la politique, de la sécurité et de l'économie. L'Office franco-allemand pour la jeunesse garantit notamment que les jeunes Français et les jeunes Allemands ne s'affronteront plus jamais les armes à la main. De grands hommes d'Etat ont consolidé cet acquis. " A cet égard, chacun en Europe se souvient de cette image symbolique de François Mitterrand et Helmut Kohl, main dans la main le 22 septembre 1984 à Douaumont, près de Verdun, 70 ans après le début de la 1ère Guerre mondiale. ", ont-ils affirmé.


La solidarité avec les congolais

Les dirigeants français et allemands ont exprimé leur solidarité avec les congolais : " Dans les épreuves que traverse actuellement la RDC, il nous semble important de faire savoir à nos amis congolais que, grâce à la vision de ces responsables politiques, deux pays qui s'étaient combattus ont réussi à construire une relation d'amitié qui s'est renforcée au fil des années.

Ils se souviendront aussi qu'en 2006, l'opération EUFOR a vu des soldats français, allemands et ceux d'autres nations européennes venir contribuer, à la demande des autorités, au maintien de la paix et de la sécurité des populations congolaises. ", ont t-ils fait savoir.

Les dirigeants français et allemands ont poursuivi en disant : " Aujourd'hui, les Français et les Allemands, avec la coopération étroite des nos partenaires de l'Union européenne, souhaitent partager leur expérience historique avec la RDC. La société congolaise, en effet, comme tous les peuples, a le droit à la paix et à la stabilité. Cela exige l'engagement d'hommes politiques courageux, comme autrefois le Général De Gaulle et le chancelier Adenauer. Cela suppose aussi que le dialogue prime sur la confrontation, que l'intérêt général l'emporte sur les intérêts particuliers. La réconciliation franco-allemande peut servir de modèle en Afrique Centrale, pour que des pays qui se sont combattus hier contribuent à la construction d'un espace régional de paix et de développement.

" C'est le vœu que nous formulons, en ce début d'année 2013, pour la RDC et ses voisins, que leurs pays et leurs populations puissent se développer dans la paix et la sécurité. ", ont conclu les ministres français et allemand des affaires étrangères.

Luc-Roger Mbala Bemba

 

Lu pour vous 

Chicko Mwamba

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 09:30

 

 

Son changement de look, son nouveau compte Twitter et le suspens sur la robe qu'elle portera font d'elle l'une des stars de la soirée d'investiture. Mais son rôle suscite aussi la polémique parmi les féministes.
Michelle Obama le 21 janvier 2013 à Washington, lors de la cérémonie d'investiture - AFPMichelle Obama le 21 janvier 2013 à Washington, lors de la cérémonie d'investiture - AFP

Aujourd'hui, ce sera lui le héros. Mais c'est sur elle que se porteront tous les regards. Quatre ans après son arrivée à la Maison-Blanche, Michelle Obama reste l'une des personnalités les plus appréciées des Américains. Plus que son mari, d'ailleurs.

La première dame est l'une des armes de prosélytisme préférées des démocrates, et elle a été l'une des stars de la campagne présidentielle. Madame Obama est personnellement à l'origine d'une mission de promotion de l'alimentation saine et de la lutte contre l'obésité. Un des problèmes de santé majeurs des Etats-Unis.

Mais elle l'a bien fait comprendre : son rôle principal est celui de "maman en chef", et son style et son élégance lui valent au moins autant d'attention que sa mission de première dame.

"Cette robe sera, le temps d'une soirée, la plus importante du pays"

 

Lu pour vous par

 

Chicko Mwamba

Ces derniers jours, Michelle a beaucoup fait parler d'elle dans la presse et sur les réseaux sociaux pour sa nouvelle coupe de cheveux (agrémentée d'une frange qui la rajeunit) et son nouveau compte Twitter (@FLOTUS, le nom de code donné à la première dame à la Maison-Blanche [First Lady of the United States]), mais aussi en raison de LA question qui brûle toutes les lèvres : quelle robe portera-t-elle à la soirée de gala qui doit conclure aujourd'hui les festivités d'investiture de son mari ?

@FLOTUS : le nouveau compte twitter de Michelle Obama

"Cette robe sera, le temps d'une soirée, la plus importante du pays", assure Melinda Machado, porte-parole du Musée national d'histoire américaine, qui expose en ce moment les robes portées par les premières dames successives aux soirées d'investiture de leur époux. C'est là où repose la robe en mousseline de soie blanche, ornée de fleurs d'organdi blanches rehaussées de cristal, dessinée par Jason Wu pour le bal de 2009. Cette dernière s'est depuis hissée au rang d'icône de l'histoire des tenues des premières dames et d'emblème de l'élégance de Michelle.

Les décisions de Michelle en matière de look ont le don de propulser la carrière des stylistes. Alors étoile montante de la mode, Jason Wu n'avait que 26 ans et faisait encore ses premiers pas dans cet univers quand il a pu habiller l'une des femmes les plus regardées de la planète. Idem pour Isabel Toledo, styliste américano-cubaine qui avait créé la robe portée par Michelle durant la cérémonie d'investiture de son mari.

La First Lady déçoit certaines féministes

Mais outre l'émoi que suscitent les tenues de Michelle Obama, les spéculations et les débats sur son rôle de première dame font leur apparition, et beaucoup se demandent si elle gardera pour ces dernières années à la Maison-Blanche le cap qu'elle s'est fixé depuis 2009. Cap qui n'est pas sans créer un certain malaise auprès des célèbres féministes américaines.

"Des conseils fashion et des astuces pour garder un corps tonique, c'est donc tout ce que l'on peut attendre de l'une des premières dames les plus diplômées de l'histoire ?" déplore ainsi l'auteure Leslie Morgan Steiner, citée dans un article du Washington Post sur la polémique que suscite Michelle parmi les personnalités attachées à sortir les Américaines de leur rôle traditionnel.

Rares sont ceux qui distinguent chez Michelle Obama une orientation semblable à celle qu'avait prise en son temps Hillary Clinton, bien plus impliquée dans les décisions de son mari Bill. Mais, évidemment, tout peut encore changer.

A 49 ans, Michelle Obama a étonné cette semaine par son changement de style. C'est elle aussi qui a été choisie pour lancer Organizing for Action, une campagne chargée de promouvoir les politiques de Barack Obama et d'aider le pays à changer au-delà de sa présidence.

Mais ce que la première dame semble apprécier plus que tout, c'est le contact direct avec les familles. C'est ce qu'elle a déclaré ce week-end lors de l'événement "Kids' Inaugural: Our Children", un concert d'hommage aux familles de militaires à l'occasion duquel se sont produits Katy Perry et Usher, et auquel Michelle Obama s'est rendue avec ses filles Sasha et Malia : "C'est mon moment préféré du week-end : être ici, avec vous tous."

DOSSIER : Obama, acte II

Lu pour vous

Chicko Mwamba

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 07:48

 

 

ÉTATS-UNIS 21 janvier : investiture de Barack Obama
Le National Mall - White HouseLe National Mall - White House
800 000 personnes sont attendues dans le National Mall, à Washington, le jour de l’investiture officielle de Barack Obama, le 21 janvier prochain. Soit une ferveur populaire moindre qu’il y a quatre ans, signale USA Today : ils étaient alors 1,8 million à assister à la prise de fonction du premier président noir américain.

Retour au dossier

 

ÉTATS-UNIS
Investiture de Barack Obama, acte II

 

Note :Feu d'artifice du National Mall et de la Maison Blanche
Note :Feu d'artifice du National Mall et de la Maison Blanche
ÉTATS-UNIS Investiture d’Obama : changement de cap en politique étrangère
Avec la nomination de Chuck Hagel au Pentagone et de John Kerry au département d’Etat, Obama se démarque un peu plus des faucons de l’ère Bush et de leurs aventures militaires.
Dessin de Horsch paru dans Handelsblatt, Düsseldorf.

En nommant Chuck Hagel à la tête du Pentagone, Barack Obama n’a pas simplement complété l’équipe de sécurité nationale de son second mandat, il a aussi signé l’abandon de ce qui a constitué l’essentiel de la politique étrangère de George W. Bush. Ancien sénateur républicain, M. Hagel est souvent décrit comme un politicien “du centre”, un euphémisme utilisé à Washington pour le distinguer d’un autre groupe : celui des néoconservateurs qui ont poussé les Etats-Unis à envahir l’Irak.

M. Hagel, M. Kerry, déjà nommé au poste de secrétaire d’Etat, et M. Brennan, qui quittera son poste de conseiller de la lutte contre le terrorisme à la Maison-Blanche pour prendre la direction de la CIA, formeront une équipe de fins connaisseurs des arcanes de Washington grâce à plusieurs décennies d’expérience dans le monde politique, le milieu du renseignement et sur les champs de bataille. Malgré leurs fonctions différentes, M. Hagel, 66 ans, qui s’est brouillé avec de nombreux républicains en raison de son opposition déclarée à la guerre en Irak, et M. Kerry symbolisent la prudence caractéristique de l’ancien courant réaliste de la politique étrangère américaine. “Ce n’est pas une équipe qui va vouloir envahir l’Iran”, observe Bruce Riedel, ancien agent de la CIA qui a conseillé plusieurs présidents en matière de lutte contre le terrorisme. “Elle sera plutôt du genre à privilégier une autre solution que l’action militaire, de préférence la voie diplomatique.” Qui plus est, les deux hommes sont des vétérans du Vietnam, ce qui devrait les rendre encore plus circonspects vis-à-vis de l’envoi de troupes au combat.

La polémique suscitée par la nomination de M. Hagel doit aussi être considérée à travers le prisme de la question d’Israël et des dépenses militaires, mises à mal par les réductions du budget fédéral. Il a notamment été taxé d’antisémitisme pour ses prises de position contre le “lobby juif”.Les républicains ne sont pas ses seuls détracteurs. Bon nombre de démocrates ne le portent pas dans leur cœur à cause de ses positions vis-à-vis d’Israël et de ses insultes homophobes, pour lesquelles il a d’ailleurs présenté des excuses. Les démocrates sont également las de voir le président nommer des républicains au Pentagone.La nomination de M. Brennan comporte des risques politiques différents, liés à trois volets de la politique étrangère américaine : la torture, les drones et le Yémen.

Lors de son premier mandat, M. Obama avait déjà pensé à lui pour la CIA, mais M. Brennan avait décliné l’offre en raison des accusations de soutien aux “techniques d’interrogatoire renforcées” de George W. Bush, généralement associées à la torture, qui avaient été portées contre lui. Le futur chef de la CIA a nié toute implication dans l’usage de la torture.Mis à part ces techniques d’interrogatoire, interdites sous la présidence d’Obama, M. Brennan s’inscrit dans la continuité de la lutte antiterroriste des années Bush. Il a été l’un des principaux partisans de l’usage de drones contre des cibles terroristes durant le premier mandat d’Obama et il a également été responsable de la politique du gouvernement au Yémen, l’un des pays où les Etats-Unis ont utilisé le plus de drones.

A certains égards, la nomination de M. Brennan à la CIA sera une rétrogradation par rapport à ses fonctions de responsable de la politique antiterroriste à la Maison-Blanche, où il a joué un rôle clé dans la traque et l’exécution d’Oussama Ben Laden. “Alors qu’il était au côté du président, il va désormais en être éloigné d’une trentaine de kilomètres, souligne Bruce Riedel. Or la proximité est cruciale à Washington."

 

Lu pour vous

 

Chicko Mwamba

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 23:05

 

Source: Belga
lundi 21 janvier 2013 à 19h05

Barack Obama a appelé lundi à l'action sur plusieurs dossiers délicats - réforme de l'immigration, droits des homosexuels, armes à feu ou encore le changement climatique - et incité les Américains à s'unir après avoir prêté serment pour un second mandat à la tête des Etats-Unis.

© Reuters

Citant le texte de la déclaration d'indépendance en énumérant les réformes qu'il entend mener, face à plusieurs centaines de milliers de personnes rassemblées devant le Capitole à Washington, le 44e président américain a déclaré à ses compatriotes: "Notre voyage ne sera pas terminé" tant que ces questions ne seront pas réglées.

Le président américain les a également appelés à l'union: "Maintenant, plus encore que jamais, nous devons faire tout cela ensemble, comme un seul pays et un seul peuple", a-t-il lancé sous les acclamations de la foule.

"Nous réagirons à la menace du changement climatique, en gardant à l'esprit que ne pas le faire constituerait une trahison pour nos enfants et les générations futures", a poursuivi le président américain, qui s'est aussi engagé à maintenir des "alliances fortes" partout dans le monde.

"Personne n'a plus intérêt à un monde en paix que le pays le plus puissant", a plaidé M. Obama, qui a promis de "soutenir la démocratie de l'Asie à l'Afrique, des Amériques au Moyen Orient".

Quelques minutes avant de prononcer ce discours, Barack Obama avait prêté serment pour un second mandat de quatre ans à la tête des Etats-Unis. "Moi, Barack Hussein Obama, je jure solennellement de remplir fidèlement les fonctions de président des Etats-Unis, et, dans toute la mesure de mes moyens, de sauvegarder, protéger et défendre la Constitution des Etats-Unis", a répété M. Obama face au président de la Cour suprême, John Roberts.

Une première cérémonie d'investiture, intime et expédiée en quelques dizaines de secondes, avait déjà eu lieu dimanche à la Maison Blanche, le 20 janvier à midi étant la date et l'heure précises disposées par la Constitution pour le début des mandats présidentiels. La tradition veut toutefois que lorsque le 20 tombe un dimanche, les cérémonies publiques soient reportées au lendemain. 

 

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Chicko Mwamba

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 22:57

 

 

Le Vif

lundi 21 janvier 2013 à 07h07

Le groupe jihadiste qui a organisé l'attaque suivie d'une prise d'otages massive contre un site gazier du centre-est algérien a de nouveau promis dimanche "plus d'opérations pour tous les pays ayant pris part à la croisade" au Mali, dans un communiqué publié par un site d'information mauritanien.

Mokhtar Belmokhtar© Image Globe

La prise d'otages a été revendiquée par l'Algérien Mokhtar Belmokhtar et sa katiba (unité combattante), les Signataires par le sang. Belmokhtar, surnommé "le Borgne", est un ancien responsable d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dont il a été récemment écarté.

"Nous promettons plus d'opérations pour tous les pays ayant pris part à la croisade contre l'Azawad (le nord du Mali, ndlr) s'il ne reviennent pas sur leur décision", ont écrit les organisateurs sur le site Agence Nouakchott d'Informations (ANI), qui publie régulièrement les communiqués d'organisations jihadistes.

"Nous rappelons à nos frères musulmans la nécessité de se tenir à l'écart des sites des sociétés étrangères, notamment françaises, pour protéger leur vie", ont-ils ajouté, avant de revenir sur les détails de l'opération lancée à In Aménas, dans le Sahara algérien.

Vingt-cinq corps ont été retrouvés dimanche sur le site gazier algérien où s'est achevé la veille la prise en otage de plusieurs centaines de personnes menée par les "Signataires par le sang" qui a fait plusieurs dizaines de victimes pendant l'assaut des forces spéciales algériennes.

 

Lu pour vous 

Chicko Mwamba

Les infos du Vif aussi via Facebook
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19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 22:01

 

 

08/01/2013 à 08h:55 Jean-Éric Boulin, à New York
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John Kerry le 21 décembre à Washington.John Kerry le 21 décembre à Washington.© AFP

Challengeur de Bush lors de la présidentielle de 2004, il a été battu. Candidat au secrétariat d'État en 2008, il a dû s'effacer devant Hillary Clinton. Cette fois, enfin, il touche au but !

Susan Rice ayant jeté l'éponge, c'est lui qui sera le prochain secrétaire d'État de Barack Obama. Et c'est tout sauf une erreur de casting. Avec ses manières policées, ses trente ans passés à la commission des affaires étrangères du Sénat et son père diplomate, John Forbes Kerry, qui est aussi un ancien de la guerre du Vietnam, a le profil idéal pour le rôle. Sa désignation n'en est pas moins une revanche pour cet homme ambitieux et très conscient de sa valeur, qui ne perdit que de justesse la présidentielle de 2004 et qui, quatre ans plus tard, se vit préférer Hillary Clinton pour le secrétariat d'État, alors qu'il avait soutenu Obama contre cette dernière lors de la primaire démocrate. « Toute sa vie, John s'est préparé pour cette fonction », a commenté le président en annonçant son choix.

Les destins des deux hommes sont intimement liés. Personne n'a oublié qu'en 2004, lors de la convention qui investit le candidat Kerry, Obama, alors jeune sénateur de l'Illinois, prononça un discours brillantissime qui lança aussitôt sa carrière nationale. Et que, pendant la campagne de 2012, c'est Kerry, 69 ans, qui servit de sparring-partner au candidat-président pour préparer ses trois débats contre Mitt Romney.

Le très loyal sénateur du Massachusetts est un spécialiste des opérations de déminage. Il n'a par exemple pas ménagé ses efforts pour faire ratifier par le Sénat un traité très controversé avec la Russie concernant la réduction des armements (Start). En octobre 2009, il fut également chargé par Obama d'arrondir les angles avec Hamid Karzaï. À Kaboul, au terme de trois jours de discussions, il parvint à convaincre l'imprévisible président afghan d'organiser de nouvelles élections (après celles de 2004). Et c'est encore lui qui, après l'élimination d'Oussama Ben Laden, en mai 2011, fut envoyé à Islamabad pour apaiser la fureur des responsables pakistanais. À ses interlocuteurs, il expliqua avec franchise que les États-Unis ne pouvaient plus se permettre de confier à d'autres la mission de tuer ou de capturer le chef d'Al-Qaïda. Qu'ils s'étaient aventurés à le faire à la fin de 2001 à Tora Bora, en Afghanistan, et que l'opération avait abouti à un échec cinglant. Tout n'a pas été réglé pour autant, mais il est certain que les Pakistanais ont confiance en lui. Ils n'ont pas oublié qu'il fut l'un des promoteurs de l'octroi par le Sénat d'une aide civile à leur pays de 7,5 milliards de dollars sur cinq ans. Comme le confiait récemment au New York Times l'ambassadeur à Washington, Kerry est l'un des rares hauts responsables américains à ne pas se comporter au Pakistan comme un vice-roi. Cette confiance peut se révéler cruciale en vue du rétablissement de relations étroites entre les deux pays.

Naïveté

S'il s'est acquitté avec brio de la plupart des missions qui lui ont été confiées par Obama, son action en Syrie, où il s'est rendu plusieurs fois en 2009 et 2010, est plus discutable et lui a valu d'être accusé de naïveté. Avant le déclenchement de la guerre civile, Kerry a beaucoup plaidé à Washington pour l'instauration d'un dialogue avec Bachar al-Assad, censé détenir l'une des clés du règlement du conflit israélo-palestinien...

Quoi qu'il en soit, sa nomination - qui devrait être confirmée sans problème par ses pairs au Sénat - ne fera sans doute que renforcer la centralisation de la politique étrangère américaine autour du président Obama. Si Kerry devrait être chargé de discuter avec les responsables étrangers, les grandes décisions seront plus que jamais du ressort exclusif de la Maison Blanche, explique un spécialiste. Son bilan au Sénat en matière d'environnement étant excellent, les associations écologistes se sont réjouies de sa nomination. Sans doute vont-elles bien vite en besogne : Obama n'a pas caché que la priorité pour son second mandat serait le redressement économique, et nullement la lutte contre le réchauffement climatique. Et au Moyen-Orient ? Fin 2011, Kerry affichait encore son optimisme : il estimait qu'une solution était encore possible au terme de négociations « laborieuses et très largement secrètes ». Depuis, Israël a annoncé en décembre le lancement de nouvelles constructions dans les territoires palestiniens occupés. Et n'a provoqué que de molles condamnations américaines.

Aux yeux d'Obama, qui, on le sait, aurait préféré pouvoir nommer Susan Rice, l'ambassadrice auprès des Nations unies, la désignation de John Kerry présente deux inconvénients. 1. Elle remet en jeu son siège de sénateur du Massachusetts, que les républicains ont des chances raisonnables de remporter. 2. Elle n'est guère dans l'air du temps : après Madeleine Albright, Colin Powell, Condoleezza Rice et Hillary Clinton, Kerry est le premier homme Blanc d'âge mûr à s'installer au département d'État depuis quinze ans (Warren Christopher, en 1997) !

Obama apprécie le style sans fioriture de sa vieille amie Susan Rice. Mais, surtout, la nomination de cette dernière aurait permis d'apporter une touche de diversité à une équipe présidentielle qui risque d'en manquer singulièrement (elle n'est pas encore connue dans le détail). Ancienne sous-secrétaire à la Défense, Michèle Flournoy est, elle, favorite pour le Pentagone - elle serait la première femme à occuper ce poste. Également pressenti, Chuck Hagel, ancien sénateur républicain du Nebraska, souffre de certaines déclarations récentes jugées insuffisamment pro-israéliennes.

Quant à Rice, on murmure qu'elle pourrait dans quelques mois remplacer Thomas Donilon en tant que conseiller à la sécurité nationale. Ce qui en ferait une rivale directe du secrétaire d'État dans la conduite de la diplomatie américaine. Et si le match Kerry-Rice ne faisait que commencer ?



Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Portrait: États-Unis : la longue marche de John Kerry John Kerry Secrétaire d'État américain | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 11:08

 

 

 

 

 

G .R .A .R .C .

GROUPE DE REFLEXION ET D’ACTION

POUR LA RENAISSANCE DU CONGO

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LETTRE OUVERTE A L’ATTENTION DE MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

 

 

Concerne : Halte à la culture de la falsification et du faux en écritures.

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Excellence Monsieur le Président de la République,

 

 

Le GROUPE DE REFLEXION ET D’ACTION POUR LA RENAISSANCE DU CONGO en sigle « GRARC » se fait le devoir citoyen de vous présenter ses très sincères félicitations à l’occasion de l’obtention de votre diplôme de licence en droit international,brillamment décrochée à l’Université de Washington. Il vous félicite également de ce que la secrétaire d’Etat Condoleeza RICE a tenu à certifier ce diplôme afin que nul n’en ignore,surtout pas ces chiens et voyous des congolais que votre présidentielle caravane s’apprête à écraser à l’occasion de la prochaine élection que vous avez du reste déjà gagnée haut la main.

 

Monsieur le Président de la République ,

Avant d’entrer dans le vif du sujet, le GRARC aimerait exprimer sa très vive préoccupation sur un certain nombre de phénomènes troublants qui ont fait leur apparition sur la scène politique nationale depuis votre accession au pouvoir.

En effet , votre prise de pouvoir a contribué à banaliser un certain nombre de facteurs sociaux,pourtant déterminants pour une nation qui se veut moderne et tournée vers le progrès à tous égards.

Il s’agit notamment, des études,de la formation,du mariage,du respect des textes légaux et réglementaires en ce compris la constitution, de la culture démocratique,du respect de la parole d’un Chef d’Etat,du respect de la vie humaine et nous en passons.

Ces questions ont été abordées dans notre document intitulé DIX RAISONS POUR BARRER LA ROUTE A JOSEPH KANAMBE . Nous espérons que vous avez lu ce document. .Nous ne nous y attarderons donc pas outre mesure aujourd’hui.

 

Monsieur le Président de la République ,

Le samedi 18 février prochain,vous allez rassembler le gotha politique congolais,ainsi que certains de vos homologues africains et,sans aucun doute,votre parrain le professeur en démocratie Louis MICHEL. Ce sera pour vous l’instant certainement le plus exaltant de votre passage à la Présidence de la République ,car, pour la première fois depuis plus de trois décennies,un digne fils du Congo,l’un des plus prodiges,va faire don à son pays et à ses concitoyens d’une des plus brillantes constitutions de l’histoire des nations.

 

Quel exploit ,Monsieur le Président,pour quelqu’un comme vous que ces chiens de congolais regardaient d’en haut !

Mais hélas Trois fois hélas !ce panégyrique dont le ton ironique a dû attirer l’attention du brillant juriste que vous êtes ,est un cantique de louanges que seuls vos zélateurs entonnent déjà à vos présidentielles oreilles.

Pour nous au GRARC et, certainement pour les congolais qui osent penser différemment que vos zélateurs,le son de cloche discordant que nous émettons est plutôt le son majoritaire.

De quoi s’agit-il au juste ?

 

Il s’agit du texte que vous allez brandir fièrement devant tous ces braillards de politicailleurs qui ,en dépit de leurs âge et multiples doctorats,n’ont jamais été capables de doter le Congo d’une Constitution ,d’une paix et d’une politique de reconstruction telles que vous nous gratifiez depuis quelques années déjà.

S’agit-il du texte voté à l’Assemblée Nationale ou de celui que vos services ont charcuté et qui a circulé concurremment avec le texte authentique ?

 

Et, chaque fois que vous êtes pris en flagrant délit d’usage de faux en écritures publiques,vous demandez aux institutions de se concerter pour vous donner un texte définitif .vous jouez le beau rôle en induisant que les MARINI,OMATUKU et autres SHE OKITUNDU agissent de leur propre chef .Si tel est le cas,pourquoi ne les sanctionnez-vous pas ?

Non, Monsieur le Président,le responsable de tous ces tripotages,c’est vous,puisque après avoir signé les textes authentiques,vous ne vous privez pas de signer les faux .Voilà pourquoi au GRARC nous vous rendons personnellement responsable de ces tripatouillages et affirmons que vous êtes un danger public,un homme dangereux pour la démocratie dans notre pays.

 

Voilà le nœud du problème que nous soulevons aujourd’hui, Monsieur le Président de la République.

Vous avez falsifié le texte de constitution voté par l’Assemblée Nationale dans les conditions les plus régulières .Et , en ce faisant,vous n’en étiez pas à votre première forfaiture.

En effet, en 2005, vous avez falsifié ,promulgué et fait insérer au journal officiel,la loi des finances dont les équilibres fondamentaux avaient fait l’objet de concertation avec le FMI. Ceci pour soustraire du Trésor et pour votre profit, des millions de dollars provenant des redevances de l’Autorité de Régulation des Postes et Télécommunications et des recettes hôtelières.

 

En 2006, vos fanatiques qui sont minoritaires en temps normal au sein de l’Assemblée Nationale (voir leur échec lors du vote sur la loi d’amnistie), vos fanatiques donc ont réussi le tour de passe-passe de faire revenir cette même question à l’ordre du jour et sont parvenus à vous envoyer un texte de loi à promulguer, à l’effet de faire revenir ces mêmes recettes dans vos escarcelles .

 

Pas plus tard qu’il y a une semaine, nous avons assisté aux acrobaties des députés et sénateurs PPRD et MAÏ-MAÏ autour de certaines questions capitales que sont le niveau d’études et la nécessité d’un débat contradictoire entre les deux tours de l’élection présidentielle.

 

Et si les billets de banque ont pu résoudre la question du niveau d’études en attendant l’arrivée providentielle de votre diplôme, ces mêmes billets de banque n’ont pas pu acheter la volonté des parlementaires de vous voir justifier ce parchemin au cours d’un débat contradictoire. Tout le mérite leur revient.

Monsieur le Président,

 

Au GRARC,nous évitons,autant que faire se peut,de vous prêter des intentions .Mais,les exemples ci-dessus rappelés nous amènent à nous demander pourquoi,après avoir falsifié la Constitution et les lois des finances,vous vous priveriez du devoir sacré de falsifier une simple loi électorale ?

Tel est, de notre point de vue,l’homme que vous êtes .Un falsificateur,un adepte du faux en écritures .Et nous ne serions pas étonnés d’apprendre demain que votre licence en droit est un faux diplôme. Nous avons d’ailleurs de sérieuses indications à ce sujet ,mais nous attendons les réponses aux lettres que certains de nos compatriotes ont adressées à Me RICE et aux autorités de l’Université George WASHINGTON ;car l’Université de Washington serait inconnue.

 

Monsieur le Président de la République ,

Nous vous exhortons à ne pas toucher à la loi électorale, sinon vous risqueriez de déclencher la troisième guerre.

Certes, vos partisans racontent que vous êtes parti pour gagner les deux prochaines élections présidentielles .Il n’est pas interdit de rêver. Mais, ce ne serait qu’à la suite de manipulation et de l’instrumentalisation de la CEI.Et pour le malheur des congolais.

 

Pour aujourd’hui, nous voudrions vous appeler à plus de modestie car à force de vous comparer à DE GAULLE (selon KUDURA KASANGO),à MOBUTU (pour ce qui concerne l’achat de consciences),vous en êtes arrivé à vous comparer à LOUIS XIV en personne .

C’est noble de se comparer à des illustres personnages .Mais ce serait plus prudent de vous renseigner sur la fin de ces mêmes personnages.

Monsieur le Président,

 

Votre prédécesseur MOBUTU était un gaillard. Il faisait la pluie et le beau temps comme vous aujourd’hui, avec la complicité de la plupart des mêmes collaborateurs qui sont aujourd’hui à vos côtés. Mais comment a-t-il fini ?Or, vous n’arrivez pas à la cheville de MOBUTU,sauf votre respect !.Songez à votre fin, réfléchissez très sérieusement à la lettre que l’ambassadeur KISONGA MAZAKALA un kabiliste pur et dur,vous avait adressée et dons nous avions pris connaissance sur www.congoindependant.com.

 

Sauvez votre vie et celle de vos enfants encore en bas âge .Surmontez vos sentiments en évitant de laisser de vous les mêmes images que MOBUTU et Laurent Désiré KABILA ont laissées dans les mémoires des congolais : des images de la honte..

 

Monsieur le Président de la République ,

Pour que vos illustres homologues sachent à qui ils ont affaire, nous avons cru de notre devoir de leur adresser copie de cette lettre ouverte.

 

Bonne fête Monsieur le résident !

POIUR LE GRARC

Thomas MBEMBELE,

Porte-parole

 

Copie pour information à :

-Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO,Président en exercice de l’Union Africaine,

-Sa Majesté MOHAMED VI,Roi du MAROC,

-Son Excellence Thabo MBEKI,Président de l’Afrique du Sud et Médiateur de l’UA,

-Sons Excellence KOFI ANAN,Secrétaire Général de l’ONU,

-Son Excellence José Manuel BARROSO, Président de la Commission Européenne.

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 08:16

 

 

Article déjà traduit, veuillez comprendre que la traduction fait perdre parfois à certains mots le vrai sens . L'essentiel se résume dans l'intention de Kagame à vouloir mettre à la place publique, voire dénoncer Bill Clinton pour sa responsabilité dans le génocide rwandais et son rôle de concepteur du chaos à l'Est de la Rd.Congo, au cas où on chercherait à le déstabiliser.

Chicko Mwamba

 

LE CHANTAGE DE KAGAME A BILL CLINTON.

Bill Clinton derrière le complot pré conçu dans le génocide au Rwanda
Il a non seulement refusé d'intervenir, il a activement cherché que cela se produise.

Le jour où Bill Clinton a atterri sur l'aéroport de Kigali en Mars 1997 afin de rencontrer son ami Paul Kagame, le peuple américain et le reste du monde pensaient qu'il était là, pour des motifs de compassion. Eh bien, c'était une erreur! Bill Clinton a été très inquiet en raison de la découverte du secret de la tragédie du Rwanda. Ce jour-là, Clinton a réussi à prononcer un discours bien calculé, mais il trahit le profond de son cœur et omit de mentionner le génocide dans son allocution: «Il peut sembler étrange à vous ici, en particulier bon nombre d'entre vous qui avez perdu des membres de votre famille, mais les gens comme moi assis dans les bureaux, jour après jour, n'avons pas pu apprécier pleinement la profondeur et la rapidité avec laquelle ce terrorisme »inimaginable vous a engloutis. En dehors du contenu du discours, l'essentiel, ici, est le moment: c'était en Mars 1997! Vous rappelez-vous ce qui s'est passé quelques jours avant, à la fin de Février 1997? Eh bien, le juge du TPIR en provenance d'Australie, Michael Hourigan, dans le secret profond de ses enquêtes spéciales, a découvert que c'étaient Kagame et Bill Clinton qui avaient abattu l'avion de Habyarimana, déclenchant la tragédie du Rwanda. Michael Hourigan a eu peur de ressortir publiquement le nom de Clinton. Mais aujourd'hui, 16 ans après, dans une conférence vidéo donnée à partir de son pays natale- Australie , Hourigan estime qu'il est temps de dire la vérité au monde.

Alors, comment la vérité a été dévoilée? C'était le 26 Février 1997. De l'ambassade américaine à Kigali, l'enquêteur du TPIR Michael Hourigan (d'Australie) a fait le fameux «Appel téléphonique du Rwanda» à son patron à La Haye (Hollande), le procureur en chef du TPIR Louise Arbour (du Canada) pour lui faire connaissance des informations très sensibles qu'il venait de découvrir.. Immédiatement, la «Kind Lady» en pleine effervescence, appela New York pour informer le Secrétaire général Kofi Annan. Le «Cold Bath»: Kofi Annan savait, 2 ans avant, dans le bureau du ministre des Affaires étrangères Ndagijimana JMV à Kigali au Rwanda, que c'était Bill Clinton qui avait ordonné l'assassinat de Habyarimana et espérait que ces informations n'allaient jamais être dévoilées. Kofi Annan informa immédiatement Madeleine Albright, le Secretaire d"Etat de Clinton qui choisit Kofi Annan comme Secrétaire général de l'ONU en remplacement du «Frenchy» Boutros Ghali. Madeleine Albright atterrit dans le bureau ovale en peu de temps: «Monsieur le Président, notre action contre la France dans la tragédie Rwandaise est sortie.

Les enquêteurs du TPIR ont découvert que nous avons abattu l'avion »français. Ce fut le début de la longue histoire de cache-cache: Louise Arbour ordonna de licencier le Procureur du TPIR Michael Hourigan et de clore l' enquête. Kofi Annan reçut l'ordre d'envoyer au Rwanda Michael Hall des services sécurité de l'ONU afin d'organiser un départ rapide de Michael Hourigan du Rwanda. Puis, Bill Clinton ordonna à Madeleine Albright de mettre la pression sur les juges du TPIR et de ne pas enquêter sur l'incident qui a déclenché le génocide au Rwanda: le fait d'abattre l' avion d’Habyarimana. Ces ordres de prévention étaient-ils suffisants pour assurer l'esprit de paix à Clinton? L'idée d'être appelé, un jour, un Terroriste Americain fait mal: «Aucun Témoin NE DOIT Survivre». Personne ne doit savoir que j'ai abattu Habyarimana, un ancien haut aide de Clinton peut rappeler aujourd'hui.
Bill Clinton voulait rencontrer tout de suite Paul Kagame, son ami dans le terrorisme. «Oui, Monsieur le Président», ont répondu à l'époque Madeleine Albright et Susan Rice, comme les étudiants en classe. Quelques jours plus tard, Bill Clinton s'est posé sur l'aéroport de Kigali au Rwanda et, après le discours célèbre, il ordonna à Paul Kagame de tuer toutes les personnes qui peuvent connaître l'assassinat de Habyarimana, en commençant par les personnes figurant sur la note de service que Hourigan avait remis à Louise Arbour à La Haye quelques jours auparavant: c'était le début de la longue histoire d'assassinats à travers le monde et près de l'horloge. C'est dans cet esprit malin de camouflage classé par Bill Clinton que Seth Sendashonga et Théoneste LIZINDE, qui ont aidé les agents Clinton à abattre l'avion d'Habyarimana, ont été assasssiné à Nairobi, au Kenya, quelques semaines plus tard. Et récemment, Bill Clinton a conseillé Kagame d'assassiner le général rwandais Faustin Nyamwasa en Afrique du Sud et quand l'attentat a manqué, Clinton s'est rapidement rendu en Afrique du Sud pour faire pression afin étouffer l'affaire.

Mais comment Bill Clinton est devenu impliqué dans des actes terroristes derrière Kagame? «Le jour où le mur de la guerre froide a été abattu à Berlin en 1989 parmi les nombreuses festivités, le président français François Mitterrand ne savait pas que la France allait être la prochaine cible de l'American Empire. 20 ans plus tard à partir de là, l'image de cette guerre américaine Invisible contre la France est terrible: 12 millions de personnes tuées en Afrique francophone et un cas certifié du génocide au Rwanda. Et les victimes sont tous les Nègres africains. Alors, qui savaient? Et quand ils le savaient? Eh bien, malheureusement, l'homme qui le premier a eu l'idée infâme sur la table est notre Black Hero, le Général Colin Powell.

Tout commence le 25 novembre 1987, en Californie, sur les collines de Santa Ynez, Santa Barbara, au ranch du président Reagan. Le général est heureux de dire à son patron que la guerre froide avec les Soviétiques est terminée: «Monsieur le Président, le Kremlin n'a plus l'endurance nécessaire pour exercer, le secrétaire à la Défense George Shultz a conclu un accord nucléaire avec les Soviétiques d'hier». Le Président, dans toute excitation, invita le général de trouver un nouvel ennemi à combattre. Et le nouvel ennemi sera l'Empire Français en Afrique. Les ressources du Congo ont été désignées comme un trésor indispensable à saisir par tous les moyens, y compris les génocides. Comme un nouvel ordre venait de sortir de Washington, le président français François Mitterrand perçut la menace et pour prévenir, décida d'anticiper les changements. Il invita alors tous les présidents africains sous son contrôle à La Baule (France) et leur imposa un changement radical dans la gouvernance publique (démocratie), pour corriger ce qu'on appelle les «Erreurs françaises» dans le discours de Sarkozy à l'apologie du génocide de Gisozi Memorial (Rwanda) en Février 2010 , pour se conformer à la volonté de Mr.Kouchner, son ministre des Affaires étrangères et de son ami autoproclamé Paul Kagame.
Mais il était trop tard! Washington n'était pas intéressé par la démocratie en Afrique, Washington a été plutôt attiré par les immenses ressources minérales du Congo.

Bill Clinton est entré au bureau ovale au bon moment et avec les bonnes personnes. Mais il commit une grosse erreur en choisissant un homme sans instruction et soldat bébé ex: Paul Kagame. Le 1er Octobre 1990, comme le Président du Rwanda Juvénal Habyarimana a refusé de trahir les Français, le Pentagone décida d'envahir le Rwanda par l'Ouganda, se cachant derrière la rébellion du FPR. Ce jour-là, le Président Juvénal Habyarimana du Rwanda était à Washington et le Département d'Etat américain lui a offert l'asile en échange de donner tous pouvoirs à Kagame du FPR. Le Président a décliné l'offre et retourna au Rwanda. De Octobre 1990 à Janvier 1993, le Pentagone (Dick Cheney, Colin Powell) a aidé Kagame , en lui donnant tout ce dont il avait besoin pour renverser le gouvernement du Rwanda. Mais comme la France avait atterri ses troupes au Rwanda afin de faire pression pour les négociations et la démocratie entre le gouvernement rwandais et le FPR , Washington réalisa qu'il ne sera pas possible d'envahir le Congo avec un gouvernement démocratique au Rwanda: Washington a besoin d'un homme proxy au Rwanda. C'est ici que vienti un plan B: l'assassinat de dirigeants hutus!
En Septembre 1993, Bill Clinton ordonna le Pentagone et la CIA d' aider Kagame à assassiner le président hutu du Burundi, Melchior Ndadaye, voisin du Rwanda et allié de la France. Le 20 Octobre 1993, Kagame avec ses escadrons de la mort et agents de la CIA s'est rendu à Bujumbura: le président Melchior Ndadaye a été assassiné, coupé en morceaux avec des couteaux, la" méthode Kagame" de tuer ses victimes. Lorsque Kagame est retourné à Kampala quelques jours après de sa vilaine mission dans Bujumbura, il fut reçu par Brian Atwood, le directeur de l'USAID, pour finaliser le plan d'assassiner le Président Juvénal Habyarimana du Rwanda. Comme un informateur peut confirmer aujourd'hui, Kagame a hésité et a averti un Cataclysme au Rwanda si le président Habyarimana devait être tué comme son homologue burundais Ndadaye. Mais Bill Clinton, à travers son ambassadeur George Moose, dit à Kagame que l'assassinat de Habyarimana était le seul moyen de vite gagner la guerre. La CIA estima que 50 milliers de personnes allaient être tué à la suite de l'assassinat de Habyarimana, un sacrifice acceptable et un bon prix à payer pour une juste cause. Le Pentagone a promis de fournir tout le nécessaire à Kagame , y compris les renseignements et assistance militaire.

Kagame accepta le risque et invita LIZINDE et Kanyarengwe, deux rebelles hutus et anciens alliés du Président Habyarimana, de mettre en place un plan d'assassinat. Alex Kanyarengwe proposa un attentat contre l"avion de Habyarimana et Théoneste LIZINDE indiqua le meilleur endroit pour tirer sur l'avion présidentiel: Masaka Hill, près de l'aéroport Kanombe. En Décembre 1993, Kagame rencontra de nouveau Brian Atwood, Prudence Bushnell et l'ambassadeur américain George Moose: «Dites à Clinton que J'ai besoin d'argent et de» armes, un haut fonctionnaire de haut rang du FPR en exil se souvient aujourd'hui. Bill Clinton, en passant par Kampala, donna tout à la rébellion de Kagame: l'argent, les hommes, l'intelligence (renseignements) et des armes ont été livrées par les avions Hercules C130. Les tactiques politiques pour tuer Habyarimana ont été effectuées par le président ougandais Yoweri Museveni à la demande de Bill Clinton. Le président tanzanien Hassan Mwinyi a rejoint l'intrigue et le président Habyarimana a été forcé à se rendre à Dar-Es-Salaam le 6 avril 1994, pour une réunion infâme: Il ne reviendra jamais à la maison.

Donc, qu'est ce qui s'est passé ce jour-là? Le 6 avril 1994, Bill Clinton a ordonné au Pentagone l'envoi de 450 rangers US au Burundi pour aider les agents de la CIA au Rwanda afin d'exécuter l'assassinat en douceur. Ce jour-là, le matin, Madeleine Albright, l'Ambassadeur de Clinton à l'ONU, ordonna au général Roméo Dallaire (du Canada) qui était au Rwanda en tant que commandant des forces de l'ONU ,de faciliter le FPR et les agents de la CIA à voyager au parc national de l'Akagera, avec des véhicules de l'ONU, pour surveiller le retour de Tanzanie de l'avion de Habyarimana dans la soirée, et alerter l'équipe Terroriste à Masaka Hill pour se préparer à l'explosion en vol. Le même jour, le président ougandais Yoweri Museveni a reçu la commande de Bill Clinton pour s'assurer que le retour à Kigali de Habyarimana soit faite dans la nuit. A 20H 01', les espions de la CIAs détectèrent l'avion de Habyarimana au dessus du parc de l'AKagera , avertirent immédiatement le quartier général de Kagame à Mulindi et appelèrent les troupes américaines déjà stationnées sur l'aéroport de Bujumbura , puis l' ambassadeur des Etats-Unis au Burundi, Robert Kruer, pour être prêt pour une éventuelle catastrophe au Rwanda. De Mulindi,où était basé le quartier général du FPR, Kagame a envoya un message radio à l'équipe de terroristes déjà stationné à Masaka Hill pour se préparer à descendre l'avion ( Black Bag job).

A Washington, Bill Clinton était assis dans le bureau ovale, en attendant «Good» Nouvelles. A Kigali, le général canadien Roméo Dallaire éteint tous les téléphones et sa disparition, engagés dans des conversations secrètes avec des fonctionnaires de la CIA. A 20 heures 21, autour de l'aéroport de Kigali, le pilote Habyarimana, un français, par radio avec la tour de contrôle reçut l'autorisation d'atterrir. Mais lors de la descente de la piste, deux missiles ont décollé de Masaka Hill vers l'avion présidentiel. Personne à bord n'a survécu.
Les bonnes nouvelles arrivèrent à la Maison Blanche en un rien de temps et Antony Lake, Bill Clinton, conseiller national de sécurité est entré en ovale Office: Monsieur le Président, nous l'avons fait: le Congo sera américain. Quelques minutes plus tard, Robert Flaten, l'ambassadeur américain au Rwanda à l'époque, était au téléphone pour confirmer le rapport. C'était une joie dans la Maison Blanche et un jour triste aux Champs Elysées. L'objectifs ultime était de renverser la France en provenance du Congo et d'occuper les ressources minérales congolaises immenses. Bill Clinton a accepté de soutenir les rebelles Kagame et en retour Kagame agissant comme un proxy américain pour envahir le Congo et renverser le gouvernement Frenchy Mobutu. En Mars 1997, Clinton a atterri sur l'aéroport de Kigali et a prononcé le discours infâme. Puis, se cachant derrière Kagame, il a envahi le Congo, a tué 8 millions de personnes y compris les ressortissants espagnols, a renversé la France, et ils ont pillé les ressources du Congo: des centaines de millions de dollars US finirent dans la poche de Clinton et Kagame peut se permettre deux jets privés de luxe et un immense bâtiment à Londres avec Tony Blair en tant que co-titulaire de l'action.
Mais en Janvier 2009, quand Obama est devenu le président américain, Clinton et Kagame, qui étaient des amis dans des crimes, sont devenues ennemies à la justice. Pourquoi? Obama a ordonné à Kagame l'arrestation de au Congo du général Laurent Nkunda et Kagame en réaction complota pour tuer Obama, cherchant de l'aide de Clinton et de Tony Blair à abattre Air Force One, exactement de la même manière qu'il a fait pour éliminer Dr. Alison Des Forges. Lorsque l'information est devenue publique, sans doute que Obama le savait , Clinton avait lui-même pris la distance de Kagame. Dans le même temps, le TPIR a révélé les auteurs de l'assassinat de Habyarimana, et maintenant la famille des victimes sont en quête de justice dans les tribunaux. Le procès dans la cour d'Oklahoma est à la recherche de 350 millions dollars US pour la compensation dans cet 'assassinat terroriste sur l'aéroport de Kigali le 6 avril 1994, argent que Kagame ne peut pas se permettre. Mais Kagame a tué également 8 millions, y compris les ressortissants espagnols, au Congo lors de l'invasion illégale et l'occupation illégale de Bill Clinton ordre. Combien d'argent sera nécessaire pour compenser toutes ces victimes? Qui va payer, Kagame ou Clinton? Le juge espagnol estime Bill Clinton doit payer cet argent. Et l'homme Skinney de Kigali a compris et est prêt à accuser Bill Clinton devant la Cour si Hillary Clinton commence à le critiquer publiquement. L'homme fort de Kigali est en bonne position pour détruire l'Amérique. Et il a commencé à intimider les Etats-Unis publiquement: «Le (...), vous savez l'Ouest (...), Clinton m'ont ordonné de tuer Habyarimana (...), d'envahir le Congo (...), et maintenant il veut me faire face à la justice seul (...) ». Selon un haut responsable du FPR (Kagame Sevices Secret), plusieurs politiciens américains se trouveront devant la justice sur des accusations de terrorisme si Kagame est arrêté: Bill Clinton, Madeleine Albright, Bill Perry, Colin Powell, Dick Cheney, George Bush, Suzan Rice, Brian Atwood, Antony Lake, John Shalikashvili, Pierre Richard Prosper, Robert Kruer, Kofi Annan, Roméo Dallaire, Louise Arbour et beaucoup plus.
Alors, qu'en est-il de Kagame? Est-il un homme innocent? Beaucoup d'avocats en Espagne pensent que Kagame est un homme innocent. S'il est démontré que Bill Clinton a ordonné Kagame de tuer Habyarimana puis l"a forçé à envahir le Congo, Kagame ne peut pas être arrêté et toute la responsabilité retombe sur Bill Clinton. Conformément à la loi et la théorie de l'Agence, Kagame est un homme innocent, comme il a agi sur ordre de son principal Bill Clinton et Paul Kagame est en bonne position pour le démontrer.

Dans les coulisses, le cas de «Kagame vs Clinton» devant le tribunal est en train d'attirer de nombreux avocats à travers le monde. Parce qu'il est facile de défendre Kagame dans la salle d'audience, pour remporter l'affaire et des millions de dollars de trésorerie de Bill Clinton. Mais récemment, à Toronto (Canada), Bill Clinton a nié toute implication dans la tragédie du Rwanda. Était-il honnête? Il ya quelques semaines, j'ai posé cette question à l'un des anciens conseillers juridiques de Bill Clinton: Comment réagissez-vous à ces juges espagnols qui ont l'intention d'arrêter Clinton sur les accusations de terrorisme au Rwanda et au Congo en 1994 selon la "Théorie de l'agence"? «Eh bien, vous le savez, les théories sont belles mais dans la salle d'audience , elles ont besoin» de preuves.

Mais le juge français Jean Louis Bruguière m'a dit il ya plusieurs années: il ya suffisamment de preuves impliquant Bill Clinton dans l'assassinat de Habyarimana. L' avocat australienn et ancien Procureur du TPIR Michael Hourigan a confirmé le rapport. Ancien chef du TPIR, le Procureur Carla Del Ponte (Suisse) a confirmé l'implication de Bill Clinton. Kagame lui-même à compris le danger et il est probable qu'il est prêt à dire la vérité pour sauver sa vie. Et l'ancien ambassadeur américain au Rwanda Robert Flaten a confirmé que les Rangers américains stationnaient sur l'aéroport de Bujumbura, le 6 avril 1994: qui les a envoyés là-bas, que faisaient-ils là dans un pays francophone, et pourquoi ce jour-là?

«Personnel ne sait le jour où Bill Clinton sera arrêté, mais déjà un juge un Espagnol est prêt à un choc avec l'Amérique».


Source: Nazionale Audiencia, Madrid, Espagne
Tribunal de Hautes Instances, Paris, France

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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 07:23

 

COMMENT LES INTENTIONS D'OBAMA PEUVENT DEVENIR REALITES DANS UN SYSTEME INTERNATIONAL CRUEL?

LE DISCOURS DU GHANA 

LES INTENTIONS

* Promouvoir une vision, non seulement par des paroles mais aussi par des appuis qui renforcent les capacités de l'Afrique...

* Lorsqu'il y a génocide quelque part, ça ne constitue pas seulement des problèmes africains: ce sont des défis mondiaux à la sécurité, exigeant une riposte mondiale...

* Soutenir les efforts visant à contraindre les criminels de guerre à rendre comptes...

* La nécessité d'un système international où les droits universels des êtres humains soient respectés et où les violations de ces droits soient combattus...

* Sanctionner et arrêter ceux qui ne respectent pas la voie de règlement pacifique des conflits et aider ceux qui en souffre...

* Réaffirmer le souhait de voir les africains maîtres de leur destin...

* La nécessité de voir les africains imposer des institutions puissantes par une ferme volonté...

* Responsabiliser les dirigeants africains et bâtir des institutions qui servent le peuple...

* Accompagner les africains tout le long du chemin en tant que partenaire et ami...

* Partager sa conviction avec les africains: "la vérité finit toujours par triompher"...

Enfin, l'histoire est en marche, ce sur quoi plus forts, forts et faibles ne sont épargnés par : l'irréparable, l'irréversible et l'inévitable. Le changement est un phénomène qui s'impose à tous.


C'EST QUOI LE SYSTEME INTERNATIONAL

 

Questions de définition

Il convient tout d’abord de circonscrire le domaine. Raymond Aron donnait cette définition :

« J’appelle système international l’ensemble constitué par des unités politiques qui

entretiennent les unes avec les autres des relations régulières et qui sont susceptibles

d’être impliquées dans une guerre générale3. » Du point de vue des relations

internationales, les unités en question – principalement les Etats dans la conception d’Aron

– sont des sociétés humaines plus ou moins cohérentes et donc stables, dotées d’une

organisation politique autonome capable de prendre des décisions et de les exécuter, pour

tout ce qui engage la société en tant que telle vis-à-vis du « reste du monde ». 

CARACTERISTIQUE DU SYSTEME INTERNATIONAL

La pensée de Raymond Aron s’inscrit dans la tradition réaliste, selon laquelle les relations

internationales sont caractérisées par l’état de nature, où la violence est l’expression

normale et même légitime de l’antagonisme des souverainetés. Dans cette vision

hobbésienne, chaque unité « revendique le droit de se faire justice elle-même et d’être

seule maîtresse de la décision de combattre ou de ne pas combattre »6. Ainsi, le droit de

guerre (jus ad bellum, à distinguer du droit de la guerre jus in bello) fait-il partie intégrante

des fonctions régaliennes du Léviathan7.

 

CONCLUSION

Les bonnes intentions meublent le temps et les discours politiques.

La scène international est un environnement cruel où la loi du plus fort est la règle. Le rapport de force est le seul thermomètre qui conditionne les comportements des acteurs. Les puissants dictent leur volonté et les faibles subissent.

Trois éléments importants déterminent les relations entre les acteurs dans cet arène international. IL s'agit de :

-1- Les intérêts économiques, financiers et commercial

-2- De l'option Idéologique

-3- De l'intérêt sécuritaire et géostratégique.

Le président Obama se moque des africains car son pays porte une lourde responsabilité dans le dysfonctionnement des Etats africains.

La Rd.Congo en souffre terriblement depuis 1960 à ce jours . Une succession des crimes d'Etat  qui n'ont pas permis à ce jeune Etat de se construire ouvrant ainsi la voie à une descente vers l'enfer. De Dwight Eisenhower à la famille Clinton des assassinats odieux sacrifiant l'avenir démocratique d'un jeune Etat et l'avenir de tout un peuple.

J'ai toujours qualifié le système international "d'anachio-fonctionnel", un environnement conflictuel dans lequel les acteurs ne visent que leurs intérêts au mépris du bons, de la morale et l'éthique. Les DROITS DE L'homme sont bafoués et la justice inexistante.

Nous écrivons ces pages d'histoire avec nos mots et notre perception véritable des phénomènes sans corruption.

Conscience et Patrie

Chicko Mwamba

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  • Président de "Debout pour le Congo", Coordinateur de "Réfléchissons ensemble" et Secrétaire rapporteur de FOSPEKA.Président de l'ASBL "Le BERCEAU". Homme intègre et grand défenseur des droits des hummains.
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