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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 22:47

 

 

Colonel Moke Silumbwe : «Nous sommes tous des Gustave Bagayamukwe»



Le colonel Moke Silumbwe. Images "You Tube"

Cinq jours après l’arrestation à Uvira de Gustave Bagayamukwe Tadji, président du haut conseil de l’UFRC (Union des forces révolutionnaires du Congo), un «chef» intérimaire a été désigné à la tête de ce tout nouveau mouvement politico-militaire qui se définit comme une «rébellion constitutionnelle». Une référence à l’article 64 de la Constitution congolaise dont le premier alinéa stipule : «Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution». L’UFRC a donc désigné son président intérimaire. Il s’agit du colonel Moke Silumbwe. Docteur en droit, l’homme assume actuellement les fonctions de recteur de l’Université Kofi Annan en Guinée-Conakry. Dans une brève allocution diffusée le vendredi 15 février sur «You tube», Moke a martelé aux «vaillants soldats» de l’UFRC que «l’heure est arrivée pour neutraliser Joseph Kabila, de le pourchasser où il se cachera pour son arrestation et son déferrement devant la justice pour ses crimes». Bravade?

«Tortures physiques atroces»

Arrêté le dimanche 10 février à Uvira, au Sud Kivu, Gustave Bagayamukwe Tadji, alias «Bagus», président de l’UFRC a été emmené à Bukavu avant d’être embarqué dans un jet. Destination : Kinshasa. Selon des sources bien informées, «Bagus» a été détenu dans un premier temps dans une cave à la ferme de «Joseph Kabila» à Kingakati. «Il a été passé à tabac par des éléments de la garde présidentielle, s’indigne Lumembo Tamusa qui coordonne les activités de l’UFRC pour la diaspora. Le président Bagayamukwe a été par la suite transféré dans un cachot de l’Agence nationale de renseignements».

A Bruxelles, des voix se sont élevées pour dénoncer un «certain amateurisme». Lumembo de répliquer : «Amateurisme ? Absolument pas ! L’arrestation du président Bagayamukwe est un coup dur qui est la conséquence d’une interprétation erronée des consignes de sécurité. Je tiens par ailleurs à souligner que l’UFRC, contrairement aux apparences, n’est pas un mouvement kivutien. C’est un mouvement national».

Ton martial, diction quasi-parfaite, l’index accusateur bien tendu. Dans son allocution mise en ligne le vendredi 15 février, le colonel Moke Silumbwe a commencé par faire état des informations en provenance de Kinshasa indiquant que Bagayamukwe a subi des «tortures physiques atroces». Il ajoute aussitôt :
«Nous sommes tous des Gustave Bagayamukwe. Joseph Kabila peut arrêter qui bon lui semble mais il ne pourra pas empêcher tout le peuple congolais dans sa ferme volonté de mettre un terme à l’anarchie sécuritaire et au désordre politique à Kinshasa». «Voilà douze, poursuit-il, que Joseph Kabila fait la honte à notre nation qui est devenue la risée de tous les dirigeants africains». C’est ainsi que l’UFRC a pris l’engagement de «redorer l’image» du pays en reprenant "l’initiative militaire". Objectif : restaurer une "paix durable et l’intégrité du territoire national".

«Neutraliser Joseph Kabila»

En ce moment où certains pays voisins tirent les ficelles des bandes armées qui déstabilisent le Congo-Kinshasa, Moke Silumbwe d’insister sur le fait que l’UFRC est une «initiative authentiquement congolaise» et ne peut donc être assimilée aux «forces négatives que sont devenues les FARDC ainsi que la horde des criminels et aventuriers qui gouvernent par défi et plonge le pays tout entier dans la détresse». Pour lui, « rien ne peut justifier l’arrestation» de Bagayamukwe pour la simple raison que celui-ci n’a fait qu’exprimer, à l’instar d’autres Congolais, la nécessité d’un «changement de régime politique» à Kinshasa. Moke de s’interroger : « Le peuple n’a-t-il pas le droit de se soulever en vertu de l’article 64 de la Constitution pour faire échec à un individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force comme c’est le cas du régime de Joseph Kabila ?» «Joseph Kabila n’a-t-il pas peur d’affronter une vraie coalition des forces du changement ? ». Notons que l’UFRC assure regrouper en son sein des organisations de la société civile et une dizaine de groupes armés sous «un seul commandement militaire».

Le colonel Moke Silumbwe a par ailleurs salué les «initiatives de paix» entreprises depuis 1999 par la communauté internationale. Pour lui, toutes ces actions restent inopérantes au motif qu’il existerait «un lien» entre la persistance de la guerre «et la présence, depuis douze ans, de Joseph Kabila à la tête du pays». Et d’accuser l’actuel locataire du Palais de la nation non seulement d’alimenter en armes des groupes armés évoluant à l’Est mais aussi d’avoir livré «à son armée au front des munitions incompatibles avec les armes utilisées». L’orateur de conclure son mot en martelant aux «vaillants soldats» de l’UFRC que « l’heure est arrivé pour neutraliser Joseph Kabila, de le pourchasser où il se cachera pour son arrestation et son déferrement devant la justice pour ses crimes». L’UFRC pourra-t-il faire «rêver» les Congolais ? L’avenir le dira…

B.A.W
© Congoindépendant 2003-2013    

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 21:29

 

 

« Un grand retour en silence »

« Hugo Chavez effectue son grand retour en silence », titre Ultimas Noticias. Le quotidien de Caracas souligne que les partisans du président auraient aimé fêter son retour dignement. « Ils auraient aimé voir un comité d'accueil à l'aéroport et une foule qui accompagne sa voiture à travers toute la ville jusqu'au palais présidentiel. Au lieu de quoi, Hugo Chavez a été transporté à l'hôpital militaire, il faisait nuit noire et personne ne l’a vu ».

A l'hôpital militaire, justement, la discrétion sur l'état de santé du président est totale.
« Personne ne sait rien, personne n'a rien vu », résume Ultimas Noticias. « Un groupe d'infirmières, sur lesquelles se sont jetés les journalistes, expliquent qu'elles n'ont pas vu le chef d'Etat. Selon leur récit, le 9e étage où a été interné Hugo Chavez est gardé par des policiers et des soldats. Le personnel de l'hôpital n'y a pas accès ».

La famille politique de Chavez prudente

Tandis que des centaines de personnes se sont réunies autour de l'hôpital militaire et au centre-ville de Caracas pour fêter le retour du Commandante, la famille politique d'Hugo Chavez s'est montrée prudente. El Nacional se fait l'écho d'une conférence de presse qui a eu lieu, ce lundi, au siège du Parti socialiste unifié. « Chavez prêtera serment lorsqu’il sera en bonne santé », y a déclaré Aristóbulo Istúriz, un gouverneur du nord-est du Venezuela. Mais, toujours selon El Nacional, « le ministre de la Communication, Ernesto Villegas, a nuancé ces propos : "la situation est encore compliquée" a-t-il prévenu. "Je n’ai pas pu le voir, je n’ai pas eu accès au président. Il y a une amélioration mais la situation est délicate" ».

Quelles conséquences politiques après le retour d’Hugo Chavez au Venezuela ?

Le journal d'opposition Tal Cual est très pessimiste. Son éditorialiste, Teodoro Petkoff, est persuadé qu'Hugo Chavez « va prêter serment dans les prochains jours, devant le Tribunal suprême de justice qui devrait donc se déplacer jusqu'à l'hôpital militaire pour officialiser cet acte ». Ensuite, « un nouveau cabinet sera désigné, y compris un vice-président, ce qui mettrait un terme à l’usurpation de fonction dont Nicolas Maduro profitait jusqu’à présent ». Nicolas Maduro a été en effet nommé vice-président par Hugo Chavez mais cette fonction n'a pas été officialisée, puisque le président lui-même n'a pas prêté serment et qu'officiellement le nouveau mandat n'a donc pas commencé. Et Tal Cual conclut : « A moins que le destin n’en décide autrement, il n’y aura donc pas d’élection présidentielle ». On continuerait comme ces derniers mois, avec un Hugo Chavez sur son lit d'hôpital et son vice-président qui gouverne à sa place.

D'autres journaux estiment au contraire que le retour d'Hugo Chavez accroît la pression sur le gouvernement chaviste pour organiser une nouvelle élection. A l'instar du Correo del Caroni qui écrit : « Le fait que le président se retrouve à nouveau au Venezuela met le régime chaviste sous pression. Le peuple va vouloir savoir rapidement si Hugo Chavez est capable de gouverner ou pas, ce qui ouvre la possibilité à une nouvelle élection ». Le journal est d'ailleurs convaincu que la raison même du retour du Commandante est d'ordre politique.

Le Los Angeles Times estime donc que le gouvernement était obligé de faire revenir Hugo Chavez le plus vite possible, justement pour pouvoir organiser des élections. Puisque les choses vont mal pour le régime chaviste, souligne le quotidien : « La dévaluation du bolivar va provoquer un taux d'inflation de 30% cette année et une baisse du revenu réel des Vénézuéliens de 20%. Ces conséquences vont avant tout frapper les pauvres. Or la base de l'électorat chaviste, c'est eux. Le gouvernement pourrait perdre dans les prochaines semaines jusqu'à 5 points d'opinion favorable. D'où la nécessité d'organiser le plus rapidement possible une nouvelle élection présidentielle, pour que Nicolas Maduro, successeur désigné par Hugo Chavez, puisse la remporter ». Et le Los Angeles Times de conclure : « Dans la perspective d'une éventuelle campagne électorale, quoi de mieux que d'avoir le mythique Commandante à Caracas afin de maintenir l'émotion de ses partisans au moment où ils doivent aller voter pour choisir son successeur ? ».

La lettre de Fidel à Hugo

Le retour d’Hugo Chavez fait également la Une de la presse officielle cubaine, avec notamment une lettre de Fidel Castro, publiée par Granma, une lettre dans laquelle le lider maximo se réjouit que Chavez a pu retourner sur la terre qu’« il aime tant », comme l’écrit Castro. « Et tout ça, poursuit l’ancien président cubain, après de longs moments d’attente et d’angoisse. Mais grâce à ton incroyable résistance physique et au dévouement absolu des médecins tu as pu t’en sortir », ajoute l’ancien président cubain qui termine sa lettre par le traditionnel « Hasta la victoria siempre ! ».

Des messages de soutien à Chavez affluent aussi sur le site de Cubadebate. Un certain Mariano écrit : « Le retour de Chavez symbolise le triomphe de la coopération entre Cuba et le Venezuela. C’est ça, le socialisme », estime cet internaute avant de s’exclamer : « Adelante commandantes ! », « En avant les commandants ! ».

tags: Cuba - Fidel Castro - Hugo Chavez - Revue de presse - Venezuela
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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 10:08

 

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 20:21

 

 

février 13, 2013, | Denière mise à jour le 14 février, 2013 à 9:04 | sous Économie, Kasaï Oriental. Mots clés: ,

Diamant de la Miba
Diamant de la Miba
Diamant de la Miba
La Minière de Bakwanga (Miba) n’a pas réussi à vendre sa pierre de diamant Gem Spécial de 114, 63 carats, mardi 12 février à Mbuji-Mayi au Kasaï-Oriental. La Miba a commencé par un million de dollars américains et revu sa mise jusqu’à 480 000 USD. Mais, aucun des six comptoirs locaux d’achat présents à cette cérémonie d’adjudication ne s’est prononcé pour l’achat de cette grosse pierre précieuse.

Les gestionnaires et la délégation syndicale de la Miba, les services publics de l’Etat et d’autres personnalités provinciales, présents à la cérémonie de vente, se sont dits déçus après la cérémonie.

La mise à prix pour la Miba a débuté par un million USD pour être revue, jusqu’à l’annonce de la clôture de l’enchère, à 480 000 USD. Malheureusement aucun comptoir n’a pu décrocher cette pierre précieuse. Faute de preneur, la Miba a décidé de garder sa pierre pour une vente prochaine en dehors de la province.

Quelques moments forts ont marqué cette vente. Il s’agit notamment de la procédure de vente aux enchères verbales, la présentation des lots de diamant mis en vente par la Miba et l’ouverture des enchères. Deux sous-lots, respectivement de 100.60 et de 10.20 carats chacun, ont été, quant à eux, achetés par un comptoir local au prix d’environ 28 200 USD.

Les agents et travailleurs de la Miba ont pourtant boycotté, depuis le début du mois de janvier, leur salaire rabattu de 35% à deux reprises, attendant la vente de cette pierre précieuse.

Au cours d’une tribune d’expression populaire organisée par la société civile à Mbuji-Mayi, samedi 22 décembre, ces agents avaient déjà appelé les responsables de la Miba à une bonne redistribution des dividendes du diamant de 114.63 carats, découvert quelques jours auparavant dans une carrière de cette entreprise. A cette occasion, ils avaient souhaité «qu’on puisse définir un programme d’urgence pour le social».

 

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Chicko Mwamba

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 09:45

 

 

©AFP /  
Les traitements que reçoit le président Hugo Chavez, hospitalisé à Cuba depuis plus de deux mois pour un cancer, sont "extrêmement complexes et difficiles ", a déclaré mercredi à Caracas le vice-président vénézuélien Nicolas Maduro. "Notre commandant est soumis à des traitements complémentaires (...) qui sont extrêmement complexes et difficiles", a affirmé M. Maduro dans une allocution retransmise par la chaîne de télévision publique VTV au retour d'un voyage à cuba au chevet de Hugo Chavez. 
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Chicko Mwamba
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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 21:20

 

 

Le Monde.fr avec AFP| 13.02.2013 à 13h19

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"Chromodoris kuniei", une limace de mer de la famille des Chromodoris. "Chromodoris kuniei", une limace de mer de la famille des Chromodoris. | Steve Childs from Lancaster, UK / Wikimédia

 

Comme si sa vie sexuelle n'était pas déjà assez mouvementée, une limace de mer hermaphrodite pousse l'originalité jusqu'à se séparer de son pénis après avoir copulé. Pour mieux s'en faire pousser un nouveau et recommencer de plus belle.

"Aucun autre animal n'est connu pour copuler à plusieurs reprises à l'aide de tels 'pénis jetables'", écrivent des chercheurs japonais dans une étude consacrée à l'étrange vie sexuelle de la Chromodoris reticulata. Le mollusque rouge et blanc n'a pas besoin de plus de vingt-quatre heures entre deux accouplements pour dérouler un "pénis juvénile" comprimé à l'intérieur de son corps, et remplacer l'ancien appendice usagé, expliquent les biologistes dans la revue Biology Letters de l'Académie des sciences britannique. Et la limace de mer peut rééditer cet exploit au moins trois fois d'affilée, selon leurs observations.

 HERMAPHRODITE

Longue comme le pouce, Chromodoris reticulata est hermaphrodite, c'est-à-dire dotée à la fois d'organes sexuels mâle et femelle. Lorsque deux limaces se reproduisent, elles assurent simultanément les deux rôles : chacune donne son sperme et reçoit en retour celui de son partenaire, qu'elle stocke pour une insémination ultérieure.

Les chercheurs ont observé la copulation de Chromodoris reticulata capturées en mer et placées en aquarium. Après chaque accouplement, d'une durée variant de quelques dizaines de secondes à quelques minutes, chaque limace se débarrassait de son pénis, un organe en forme de filament situé sur le côté de l'animal et projeté dans le vagin du partenaire.

STRUCTURE EN SPIRALE

Un examen microscopique de ces pénis jetables a mis en évidence une structure en spirale, qui semble pousser pour former un pénis de remplacement, un peu à la manière d'une bobine de fil qu'on déroule. "La structure en spirale aurait besoin d'à peu près un jour pour être prête à la copulation", estime l'étude.

Les chercheurs ont également découvert que le pénis de la Chromodoris était recouvert de petites épines, orientées vers l'arrière comme sur un harpon. Cela rendrait difficile l'extraction du pénis une fois la copulation accomplie, expliquant peut-être pourquoi cet organe est détachable. De nombreux animaux sont capables de se séparer d'une partie de leur corps – la queue chez les lézards, la peau même chez certaines souris – mais bien peu renoncent ainsi à leur pénis, soulignent les scientifiques japonais.

 

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Chicko Mwamba

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 20:17

 

 

Les demandes d'asile en baisse

(11/02/2013)

La Guinée est le principal pays demandeur d'asile


BRUXELLES Quelque 1.644 demandes d'asile ont été introduites en Belgique au cours du mois de janvier 2013, ce qui représente une diminution de près de 24 pc par rapport au mois de janvier 2012, indique lundi le Commissariat général aux Réfugiés et Apatrides (CGRA). Parmi les 1.644 demandes d'asile enregistrées en janvier, 630 (soit 38,3%) sont des demandes multiples.

Les principaux pays d'origine des demandeurs d'asile étaient la Guinée (10% du total des demandes), l'Afghanistan (8,9%), la Russie (7,3%), la République démocratique du Congo (6,5%) et la Syrie (5,9%). Le Kosovo, l'Irak, le Sénégal, le Cameroun et l'Albanie complètent le top 10 des pays d'origine.

Le CGRA a pris 1.401 décisions au cours du mois de janvier, parmi lesquelles 203 décisions de reconnaissance du statut de réfugié et 177 décisions d'octroi du statut de protection subsidiaire.

Fin janvier, la charge de travail totale du CGRA atteignait 11.620 dossiers. On peut considérer que 4.500 dossiers constituent une réserve de travail normale et que l'arriéré proprement dit s'élève à 7.120 dossiers, précise le CGRA.

Le Commissariat général aux Réfugiés et aux Apatrides est depuis le 1er juin 2007 la seule instance habilitée à examiner les demandes d'asile en Belgique.

© La Dernière Heure 2013.

 

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Chicko Mwamba

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 21:36
Rappel important

Ne peut s'opposer à Kanambe que celui qui a reçu de lui une attestation de l'opposant livré en bonne et due forme par lui.

Exemple simple: Kamerhe, je vous laisse la suite...

Ne peut faire rébellion quelque soit sa nature criminelle ou sa condamnation comme force négative et trouver grâce et considération de négocier avec kinshasa, que les soit disant "tutsis Congolais"

Exemple simple: le CNDP, le M23, je vous laisse la suite...

Nous protestons contre cette arrestation que nous considérons comme une provocation qui mérite une réaction énergique de la part des responsables de l'UFRC.

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Chicko Mwamba



 

 

Une vue aérienne de la cité d'Uvira, dans la province du Sud-Kivu (RDC).Une vue aérienne de la cité d'Uvira, dans la province du Sud-Kivu (RDC).
Une vue aérienne de la cité d'Uvira, dans la province du Sud-Kivu (RDC).
Les services de sécurité ont arrêté, ce dimanche 10 février matin à Uvira au Sud-Kivu, Gustave Bagayamukwe, le leader de l’Union des forces révolutionnaires du Congo (UFRC), un mouvement rebelle créé à la mi-janvier dans l’Est de la RDC. L’UFRC est une coalition des douze groupes armés rebelles qui veut renverser le président Joseph Kabila, selon Gustave Bagayamukwe.

Gustave Bagayamukwe a été arrêté vers 5 heures (heures d’Uvira) et directement acheminé à Bukavu, capitale du Sud-Kivu, ont indiqué des sources concordantes à Uvira.

Des sources politiques contactées à Bukavu ont affirmé que le leader de l’UFRC a été acheminé par la suite de Bukavu à Kinshasa, ce dimanche même.

Il provenait de Bujumbura et a tenu une séance d’échanges à Uvira, samedi, avec certains leaders locaux d’opinion. Il projetait surtout de rencontrer, ce dimanche à Katobo, les représentants des groupes armés de la région Sud de la province du Sud-Kivu.

Candidat malheureux aux élections législatives 2011 pour la ville de Bukavu, Gustave Bagayamukwe est l’initiateur de l’Association pour la défense des intérêts de Bukavu (Adib).

Dimanche 3 février, il a annoncé création l’Union des forces révolutionnaires du Congo, dont il est le président du comité de coordination. Selon l’AFP, l’UFRC demande des « poursuites judiciaires (…) pour haute trahison » contre Joseph Kabila », écrit Gustave Bagayamukwe Tadji, dans cette note datée du 25 janvier et envoyée au secrétaire général de l’Onu, Ban ki-Moon. Ce mouvement « politico-militaire » reproche notamment au président Kabila d’avoir été mal réélu lors des élections du 28 novembre 2011.

Lors d’une conférence de presse, vendredi à Kinshasa, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, a, pour sa part, minimisé l’annonce de la création de l’UFRC :

« On parle d’une rébellion. En tous cas, jusque ce matin [vendredi 8 février], le gouverneur du Sud-Kivu et d’autres représentants de la province ne sont pas au courant. Il y a une personne qui dit qu’elle est à la tête de ce mouvement, mais il n’a pris un seul mètre carré du territoire congolais.»

 

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Chicko Mwamba

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 21:19

 

Une fillette de 3 ans a été admise au sein de l'association Mensa, un cercle fermé qui réunit les personnes disposant d'un très haut potentiel. Alice Amos, de Guildfort (Surrey), présente un quotient intellectuel de 162, ce qui fait déjà d'elle l'une des personnes les plus intelligentes au monde
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Chicko Mwamba
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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 20:44

 

      Mis en ligne le 09 février 2013 à 11h54, mis à jour le 09 février 2013 à 11h59

Crash d'un avion de tourisme (archives)Crash d'un avion de tourisme (archives) / Crédits : TF1/LCI


Un avion de tourisme s'est écrasé samedi matin au décollage à l'aéroport de Charleroi, en Belgique, tuant ses cinq occupants belges - tous membres d'une même famille originaire de Bruxelles, selon l'agence Belga. Les cinq victimes sont deux adultes et trois enfants, a précisé la police locale.

L'avion, un Cessna, a connu un problème au décollage et a tenté de revenir se poser, mais il s'est écrasé en bordure de la piste, a précisé l'Agence Belga. Les causes de l'accident, survenu vers 10 heures du matin, n'étaient pas connues en fin de matinée.

L'aéroport de Charleroi a été fermé jusque vers 14 heures, a indiqué la police. Quelques vols ont été détournés vers d'autres aéroports, dont celui de Liège. La famille était originaire de Bruxelles, selon une source aéroportuaire, citée par Belga.



 

L'appareil, un Cessna, s'est écrasé samedi en milieu de matinée à l'aéroport de Charleroi, après avoir subi un problème d'origine indéterminée lors de son décollage. Il n'y a pas de survivant parmi les cinq personnes qui se trouvaient à bord.

 

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